Testimonies of Police Abuse

You have been victim of police abuse ?

Denounce it ! Publish your testimony

Une histoire qui est digne d'un film d'horreur holywoodien

*****english follow*****

Voici ma déclaration par rapport à ce qui m'est arrivé au Mexique. Je demande l'aide de la population j'ai besoin d'appui d'organisme pour éventuellement faire une mise en demeure contre la compagnie aérienne. Je suis à boutte d'énergie et je ne sais pas ou dois-je me diriger. Merci de faire spinner et si vous avez des ressources à me conseiller cela serait grandement apprécier. merci

TÉMOIGNAGE DE L'ÉVÈNEMENT DU 1ER OCTOBRE – MEXICO CITY
PAR JENNIFER PAQUETTE

Voici la situation de départ juste pour vous mettre dans le contexte : Moi et 10 autres artistes de cirque avons obtenus une subvention gouvernementale pour aller enseigner le cirque aux enfants pauvres pendant deux semaines dans la ville de Huancavelica, Pérou. La compagnie aérienne que nous avons utilisée est Aéro Mexico.

L'histoire :

Ceci s'est passé pendant le chemin du retour.... j'ai faite un test de grossesse 3 jours avant de prendre l'avion pour le retour et qui s'est avérée être positif. Dans l'avion du Pérou jusqu'au Mexique (il y avait une escale de 12h à l'aéroport de Mexico city), j'ai faite une fausse couche dans les airs vers la fin du vol. Arrivée au Mexique j'étais encore dans les toilettes de l'avion entrain de faire cette fausse couche. L'hôtesse de l'air, étant au courant, m'a faite sortir en premier de l'avion avec une amie qui m'accompagnait. Ils m'avaient promis que j'aurais accès à une chaise roulante à mon arrivée, chose qui ne s'est pas produite donc j'ai dû traîner mon corps en douleur extrême et marcher. Rendue aux douanes mexicaines, j'étais en grosses douleurs et je continuais à saigner abondamment, du sang coulait le long de mes jambes. L'hôtesse de l'air demande au douanier de me laisser passer les douanes en urgence car je dois voir un médecin le plus vite possible. Le douanier me regarde, se fou carrément de ce qu'elle vient de dire et se met à fouiller les bagages de mon amie en me lançant des regards de haine pour être certain que je suis bien douleur.

Finalement 1h plus tard je me retrouve dehors avec mon amie, toujours sans chaise roulante. Nous étions au retour un groupe de 5 personnes. Je me sentais très faible, ma tête tournait et j'avais des énormes crampes dans mes ovaires. J'avais besoin de m'étendre car je sentais que j'allais tomber sans connaissance alors nous avons trouver un sofa dans un petit magasin à l'aéroport pour que puisse m'étendre. Soudainement une dizaine de polices nationales sont arrivées avec le médecin au magasin. Ils m'amènent voir le médecin de l'aéroport. Le médecin a faite une analyse de mon bilan de santé et m'a faite signer une décharge comme quoi j'étais apte à prendre l'avion pour retourner à Montréal mais suggérais sur le papier de voir un médecin rendu chez moi.

Le médecin m'avait prescrit des pilules anti-douleur et a affirmé que la pharmacie se trouvait à une minute de marche de l'aéroport. Deux de mes amis sont alors partis chercher ce médicament. Finalement cela a pris plus de 2h30 car le médicament prescrit est un médicament que les drogués au Mexique utilise pour se défoncer, alors impossible à trouver en pharmacie. Ils ont dû parcourir Mexico dans les autobus et métros pour finalement trouver le médicament à l'autre bout de la ville dans une petite pharmacie.

Pendant ce 12 heures d'escales, mes amis ont tentés désespérement de me trouver une chaise roulante sans succès. On s'est pointé plusieurs fois au département de la compagnie aérienne pour réclamer une chaise roulante et ils ont dit tout ce temps qu'il n'y avait pas de chaises roulante disponible... que ceux que nous voyions traîner dans le département était gardées en cas d'urgence...même si cette situation était une urgence. On avait beau leurs expliquer ce qui était arrivé ils s'en foutaient, faisaient semblant de nous aider et disparaissaient 2 minutes plus tard et ne revenaient pas. Finalement pendant une journée complète mes amis m'ont traîner dans un chariot pour transporter les bagages, en acier qui frottait sur mon vagin qui me créait des douleurs extrêmes.

Rendu au moment du vol de Montréal, cela nous a pris 2h pour finalement obtenir une chaise roulante pour une très courte durée.... car la compagnie nous avait promis une chaise roulante prête pour moi pour 23h....chose qui n'est pas arrivé et nous avons dû argumenter pendant 2h avec la compagnie pour finalement en avoir une. Dans l'avion, nous nous dirigeons vers nos places assignés dans l'avion. Nous étions tous assis, on commençait à respirer en se disant que ce cauchemar est terminée quand soudainement plein de polices nationales sont entrés dans l'avion et ont demandés à voir le papier du médecin. Il était alors 1h30 du matin. Nous montrons ce papier, le prennent et l'amènent au pilote. Le pilote décide que le papier signé du médecin n'est pas valide et il décide de ne pas décoller tant et aussi longtemps que je suis dans l'avion. Ils disent que je dois quitter l'avion pour ma santé. Je commence à paniquer et pleurer en expliquant que j'ai besoin de rentrer chez moi et que le vol ne dure que 4h. J'avais déjà commencer à me sentir un peu mieux justement parce que je savais que je rentrais dans mon pays. Une des polices a alors commencer à me tirer physiquement en dehors de l'avion. L'hôtesse de l'air me confirme que mon billet d'avion va être changé gratuitement pour le prochain vol. Mais j'avais beau leur demander pourquoi je suis jetée en dehors de l'avion et personne ne me répondais

Rendue à l'extérieur de l'avion, deux de mes amis ont décidé de quitter volontairement l'avion pour ne pas me laisser seule en plein milieu de la nuit au Mexique, mais que eux devront débourser de leurs poches un autre billet d'avion. Bref, nous sommes trois à l'extérieur de l'avion, ils ferment les portes, l'avion décolle, et tout le monde s'en va en nous abandonnant comme des merdes. Nous n'avons aucunes informations à savoir ou sont nos bagages, comment changer nos billets, ou nous devons aller etc.... bref une fois jetés en dehors de l'avion aucune aide nous a été apporté et nous avons été complètement laisser à l'abandon. Deux polices arrivent alors et commencent à nous pousser dans une direction en disant qu'on a pas d'affaire ici... on a beau demander cest ou qu'on doit aller ils refusent de nous répondre. Soudainement un gardien de sécurité arrive dans le sens opposé et nous dit qu'on peux pas aller là et commence à nous diriger dans l'autre sens pendant que les deux polices continuent à vouloir nous faire aller dans la direction qu'ils veulent. Juste mentionner que pendant tout ce temps je n'ai toujours pas accès à une chaise roulante et je suis en douleur.

Alors me voilà bloquée au Mexique sans argent, sans savoir ou sont mes valises et en douleur. Finalement un gardien de sécurité de l'aéroport décide de nous aider. Une heure plus tard nous apprenons que nos bagages ont été enlevés de l'avion sauf pour une personne que ses bagages ont décollés pour Montréal. Nous retrouvons finalement nos bagages deux heures plus tard, après une seconde fouille et pour finalement réaliser qu'ils ont décharger des bagages qui ne nous appartiennent pas. Nous nous dirigeons au comptoir de la compagnie aérienne et évidement c'était fermé on est en plein milieu de la nuit... toujours pas accès à une chaise roulante. Nous avons attendu que le comptoir ouvre, nous nous sommes dirigés vers eux en expliquant la situation. Le monsieur du comptoir refuse de changer mon billet gratuitement. Il dit que nous devons acheter un autre billet de notre poche pour le vol qui décolle 24h plus tard! Et que mon papier du médecin n'est pas valide que je dois aller à l'hôpital pour avoir un second papier du médecin m'autorisant à prendre l'avion. Alors me voilà bloquée de la compagnie aérienne. Là nous commençons à paniquer il est 4h du matin et aucunes possibilités d'utiliser cette compagnie aérienne, sans argent et avec des bagages qui ne nous appartiennent pas.

Alors nous allons nous poser dans un café et j'ai appelé mon ami et mon copain au Canada en leur disant que nous sommes 3 personnes bloquées de force au Mexique sans argent et sans énergie. Mon copain a passer une heure au téléphone avec l'ambassade du Canada sans succès pendant que mon ami me parle au téléphone pour me rassurer qu'il va nous sortir de cette merde. Cela a été très dur de trouver une autre compagnie aérienne pour revenir. Finalement nous avons trouver dernière minute la compagnie Air Canada qui partait d'un autre département de l'aéroport situé à 10 minutes d'autobus.

Nous confirmons les billets d'avions et nous nous précipitons vers l'autobus qui a été long à trouver pour se diriger vers la nouvelle compagnie. Nous sommes arrivés à Air Canada à 6h30 du matin. Au check in la madame nous demande nos papiers de migrations. Évidemment nous ne les avons plus car Aéro Mexico nous les ont pris sans nous les redonner. Elle dit alors que nous ne pouvons pas prendre l'avion, que nous devons aller refaire nos papiers de migrations mais que le bureau ouvre à 7h et que le check in ferme à 7h. Nous recommençons à paniquer en exigeant à parler à son superviseur. Il arrive nous expliquons la situation et nous dit que exceptionnellement il va attendre jusqu'à 7h30 pour fermer le check in. Nous enregistrons nos bagages mais nous avons dû payer un gros montant pour les bagages excédant car avec Air Canada nous avions droit qu'à un bagage tandis que avec Aéro Mexico nous avions droit à deux bagages.

Bref nous courons jusqu'au bureau de migration en réalisant qu'il y a un gros line up. Nous nous mettons à parler avec chaque personne pour passer devant eux. Finalement on a passer en premier, cela nous a coûter une centaine de dollars pour refaire nos papiers et nous sommes arrivés au check 2 minutes avant que cela ferme. Nous avons dû faire en plus une escale de 3h à Toronto.

En tout mon retour qui était sensé durer 24h avec une escale s'est ramassé à deux jours et demie avec deux escales. Je juge que j'ai subi un traitement inhumain de la part de la compagnie aérienne, j'ai un troma psychologique depuis, je n'arrive pas à dormir et je fais des cauchemars. En tout cela a coûter au-dessus de 1000$ être bloquée sans raison valable au Mexique. J'ai consulté plusieurs avocats qui sont prêts à me faire une mise en demeure avec sortie médiatique mais elle m'expliquait que je devais avoir un bon back up d'organisme pour que la mise en demeure aille du poids. Alors je vous sollicite votre aide car je ne veux pas laisser ça passer. Je ne peux pas payer mon loyer à cause de ça, je suis sans-emploi et je trouve inhumain le fait de m'avoir faite jetée en dehors de l'avion même avec une décharge et de ne pas avoir reçu aucune aide quelconque...à voir même le contraire.

Une semaine plus tard je me réveille constamment en sursaut, je fais des cauchemars sans arrêt et je vis un trauma psychologique. J'ai contacté la Comission des droits de la personne mais m'ont répondu que ce n'est pas dans leur jurisprudence.

Dépenses que nous avons dû faire :

Poursuite au civil (que j'aimerais entamer): 15 000$
3 billets d'avions = 1000$
excedant de bagages = 100$
refaire papiers de migrations  = 100$
bill de téléphone pour avoir appelé ici pour se faire sauver la peau = 250$
autobus pour changer d'aéroport = 50$

Merci et SVP répondez à ce cri de secours

Dons monétaire: https://fundrazr.com/campaigns/3cO9d/ab/a24Dt5

Jennifer Paquette
Contact : pirate_cirkus@hotmail.com

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Let me set the scene: me and 10 other professional circus performers received government funding to travel to Huancavelica in Perou to teach impoverished children our craft. The airline we used for our travels was Aero Mexico.
The nightmare began on our return trip. I took a pregnancy test 3 days before our return trip back home.. Turns out, I passed the test. I was pregnant. Unfortunately, while aboard the 6 hour flight from Perou to Mexico, I suffered a miscarriage. The plane had safely landed in Mexico, where I had to do a stop over for 12h before the next flight, and I was still confined to the tiny plane lavatories, painfully doubled over in pain because of my spontaneous abortion. The flight attendant was aware of the situation, and allowed my friend and I to exit the plane first. She promised I would be given a wheelchair once I entered the airport. Sadly, the wheelchair wasn’t there. Every step was sending shooting pains all throughout my body, excruciating pain I’d never experienced before. The walk to customs seemed interminable.
After what seemed like days, we finally arrived at customs. At this point, I had started bleeding profusely. Blood was running down my legs, and I was feeling really faint. The flight attendant asked to put me at the front of the line, so I could see a doctor as soon as humanly possible. The customs officer glances at me with disdain, and is completely indifferent to the flight attendant’s urgent pleas. Instead of showing us common human decency, he aggressively searches through both our bags. He shows absolutely no concern, and even more than that, seems to be mocking my pain.
We finally emerge from customs, still with no wheelchair. Our group of 5 are reunited. After suffering through several hours of unbearable pain, I’m starting to feel extremely light-headed. The abdominal pain is exponential, and I tell my friends that I need to lay down or I’d surely pass out right then and there. We find a small store inside the airport, and my friends lower me down on the couch located inside. I don’t have more than a minute to collect my strength when a dozen national police arrive, accompanied by a doctor. After examination, the doctor approves me for air travel, under the condition that I immediately visit a doctor upon my return to Canada. Knowing the pain I was under, he also prescribes some pain killers to make the trip back home bearable.
In order to fill the prescription, the doctor directs my friends to a pharmacy located one minute away from the airport on foot. My friends leave almost immediately with the prescription in hand. Unfortunately, the prescription we were given was a controlled substance in Mexico because of rampant recreational use. It was almost impossible to fill the prescription, and they had to search for over 2 and a half hour to finally find a small pharmacy at the opposite of the town, who would accept to fill the slip.
During the entire 12 hour layover in Mexico, my friends searched desperately for a wheelchair to no avail. We went to our airline company’s counter to ask for the wheelchair that was promised to us, and they told us that none were available. When we said that we saw tons of wheelchairs around the terminal, they told us those were for emergencies only. I really wonder what kind of airline doesn’t consider a woman having a miscarriage an emergency. What IS an emergency then? Some would feign interest in our problem, and would go through the motions of helping us, only to disappear 2 minutes later. Finally, my friends settled with a baggage trolley to cart me around. However, the metal bar was placed in such a way that it was bumping against my vagina causing me even more agonizing pain.
The departure for our flight back to Montreal was fast approaching, so we head to the gate. Surprisingly, we finally got a wheelchair! We only had to argue with the staff for 2 hours at the terminal for it and had to return it almost immediately. We board the plane and head to our assigned seats. Once in our seats, we could almost breathe a sigh of relief. We were heading home, and this traumatizing ordeal was almost over. Before we had a chance to get too comfortable, several police officers boarded the plane and demanded to see the doctor’s note. I hand them the note, and the police bring it to the pilot. Even though the doctor had decreed that I was healthy enough to fly, the pilot decides the paper is invalid and refuses to take off if I remained onboard. They tell me that for my own sake, I must remain grounded. I start crying hysterically, begging to be brought home and that I could withstand a short 4 hour flight if it meant I could finally be treated at home. The pain killers had taken effect, and the pain was completely bearable. Just knowing that I’d be home helped calm me down, and I desperately just wanted this to be over. While I was pleading my case, the police began to physically push me off the plane. As I was leaving, the flight attendant informs me not to worry, that I could board the next flight and it would be completely free. I asked them to then explain why if I was well enough to board the very next flight, why couldn’t I board this one? I didn’t receive an answer, and I was pushed off the flight.
Two of my friends voluntarily exited the plane, not wanting to abandon me in a foreign country in the middle of the night by myself in my current state. Sadly, since they left the plane voluntarily, their ticket would not be refunded. Since they wanted to take care of their friend who had just suffered a miscarriage only hours earlier, and was kicked off her flight home, they’d have to pay for another ticket out of their own pockets. Here we are, standing in the Mexican airport, without our luggage, without any information on what to do from here, and watching our flight to Montreal leave us in the dust. More police officers arrive, and start pushing us away, shouting that we had no business standing here. We ask them where we should be heading, because we sincerely didn’t know. Our questions are met with silence, with the pushing getting more urgent. As the police are leading us down the terminal, airport security approaches us and begins to pull us in the opposite direction saying that we should be headed this way. Just a reminder, as the police and airport security are squabbling over where to take us, and pulling us in every which way, I’m STILL without a wheelchair and my pain is making its presence felt.
So here I am. Stuck in Mexico without any money, with absolitely no idea where my luggage has ended up, without a wheelchair and in throbbing pain. After aimlessly looking for a solution to any one of the previously mentioned problems, an altruistic security guard takes it upon himself to help up. He finds out that they had the time to remove all of our luggage from the plane, except for one of our friends stuff which had been brought to Montreal. Two hours, and two body searches later, we are reunited with our luggage.......only to find out they removed someone else’s luggage from the plane. So we were left with absolutely nothing. Well, we can at least head to the airline companie’s counter to reserve our seats for the next flight. But since it’s the middle of the night, it’s CLOSED! Obviously. Oh yeah, by the way : still no wheelchair.
We waited patiently for the counter to reopen. The only flight back to Montreal is in 24 hours from now. I can’t believe that I’ll have to spend another full 24 hours, having just suffered through hell and back, and I’ll still be unable to return home and seek treatment for another full day. Powerless to change a thing, I explain the situation and that I was promised that my seat on the next available flight would be free. He refuses to give me a free seat, and demands I pay full price for my ticket if I want to fly home. On top of everything, the doctor’s note that allowed me to fly in my current state was only valid for THAT particular flight. I would have to find another doctor, who would need to re-examine me and approve me for air travel for THIS flight. So now, not only am I stuck in Mexico for another full day, but now I don’t have a dime and I have to find the funds to buy another flight back home. And we have suitcases that don’t even belong to us. Things are not looking up, and I’m having a full blown panic attack.
We park ourselves in a cafe and start making some emergency calls. I call both my boyfriend and my good friend, telling them that all three of us are stuck in Mexico without any money, and completely desperate. Even if there was a way out, we barely have any energy to stand up let alone figure out a way out of this. My boyfriend spends hours on the phone with the Canadian Embassy to no avail, while my friend tries to comfort me, assuring me that they’ll get me out of this. Finally, they managed to find room on an Air Canada flight leaving from another section of the airport that was a 10 minute bus ride away.
We confirmed our seats on the flight and, with a bit of renewed hope, we head towards the gate. We arrive at Air Canada at around 630 in the morning. At the check-in, the woman asks for our immigration papers. Sadly, when we were unceremoniously kicked off the flight, they never returned our immigration papers. We would have to redo them completely, but the office opens at 7am, and the last boarding call for the flight ends at 7. Faced with the possibility that we might miss yet another flight, and be stranded here even longer, we start panicking. We plead with the attendant that we cannot bear another delay, and that my health might really depend on returning home. She seems to empathize with our plight, and manages to delay the flight for half an hour so that we’d be able to board. We have to pay exceptionally high baggage fees, since on our original airline we had the right to two bags, but on Air Canada we only have the right to one.
We arrive at the immigration offices and are met with a HUGE line up. We speak to every single person in front of us, and in a show of human kindness, we manage to get to the front of the line. Our papers ended up costing us a couple hundred dollars, and we made it to the gate with only 2 minutes to spare. One three hour connection in Toronto, and finally arrived home.
What was supposed to be a 24 hour trip, with only one connection ended up being a 60 hour nightmare with two connections. I’ve been dealing with post-traumatic stress ever since. I usually can’t sleep, and when I do, I’m haunted by nightmares all night. Im always waking in a start, covered in a cold sweat. I can’t shake the feeling, cant seem to forget the experience. All in all, this cost us thousands of dollars just to be able to leave Mexico, but it’s cost me so much more personally. I’ve spoken to my lawyer, the Honorable Franccesca Cancino, who promised to champion my case and with the appropriate media attention behind it, but that I had to be supported by the appropriate human rights groups in order to have a shot. Suing them would cost me in the upwards of 15 thousand dollars. So, I’m humbly asking for your help. I cannot let this slide. I can’t let them win this one. Because of this, I was unable to pay my rent. My friends were also financially crippled because they stood by my side. I find it completely abhorrent that I was ejected from an airplane, that a medical note was invalidated and I was grounded though given no real medical assistance while on the ground. In fact, being grounded in Mexico made my health considerably worse. I’ve contacted the Human Rights Comission, but they responded that it was not in their jurisdiction.

Here is a tally of our expenses:

+ 3 plane tickets: 1000$ + Luggage fees: 100$ + Immigration Papers: 100$ + International Emergency Phone Call: 250$ + Additional Travel and Medical Costs: 50$

And I need 15 000$ to bring the company in Court

FUND RAISER: https://fundrazr.com/campaigns/3cO9d/ab/a24Dt5

Thanks for listening to my cry for help.

Jennifer Paquette
pirate_cirkus@hotmail.com

1380604797

06 September 2013

Dans la nuit du 5 Septembre j'ai téléphoné le 911 pour avoir de l'aide concernant mon ex-conjointe qui était sous l'effets de l'alchool et pétait une coche. 4 voitures ce sont présenté après avoir expliqué le problème le policier Sirois me demande de venir parler a coté de son véhicule. sans rien dire il ma propulsé la face dans sa vitre arrière, chacun tirait sur mes bras de chaque coté... j'aurais juré qui essayaient de me démembrer pour finir avec les culottes baissé devant ma fille autiste de 9 ans. dans la voiture j'ai fondu en l'arme, je lui est demandé ce que j'avais fait et la réponce était que je suis un criminel. Jamais ils m'ont lie mes droits, les menottes était tellement serré que son partenaire était pas capable des enlever. J'ai été relaché (arrestation illégal) après m'avoir fait traité comme une vrais merde. Je me suis excusé aux poste de police et j'ai demandé a Mr Sirois qui s'excuse aussi mais aucune réponce de sa part. Conclusion; ne faite jamais confiance a la police de Longueuil pour de l'aide.

Ville où l'événement s'est produit: 

Corp policier (SPVM, SQ, GRC, agent de la STM, etc): 

temoignage

18 July 2013 to 18 July 2019

I was reporting my stolen phone at the police stations after a couple of drinks at dinner and as soon as i dont have any information on the thief. officer dallaine was giving me attitude so i asked him why was he being rude when cops are suppose to serve and protect. than another officer came to me threw me a clipboard disrespectfully. so i made another smartass comment. Then Dallaine put on his leather gloves and told me to leave so i told them ok. As im about to head back onto crescent. dallaine pushs me bak and said to go the opposite way. so i kept explaining im trying to catch a cab there he kept saying no and continue to pushing me to the end of the street. than as he was walkin away i asked him, "arent the streets public property" he speed walked over to me and push me onto his cruiser and handcuffed me and took everything away from me than threw me into the back of his cruisers. after another police officer came out and dallaine took out his little book to find out what kind of ticket they can give me. After 1hr inside the back of the cruiser i was having trouble breathing and caused me to passed out. then first thing dallaine did to me was use his knuckles and pressed onto my chest with excessive force causing a minor bruise and told me to wake up. during all those times being handcuffed i have been askin to be able to speak to my lawyer. and i remember clearly that he said u are not being arrested so no. as soon as i was released they all ignored me when i asked for their names and badge numbers. but after awhile i kept asking they said it would be on the ticket. and dallaine and another officer left in a cruisers and the other officer was hiding inside the station

Corp policier (SPVM, SQ, GRC, agent de la STM, etc): 

Brutalite policiere

08 July 2013

Pour une petite pisse dans un fond de stationnement caché alors qu'il n'y avait aucune toilette chimique ou publique à proximité (ça ne justifi pas mon infraction alors j'assume donc mon ticket pour cette infraction), mais pas l'arrestation en soi.

En me retournant rejoindre les policier pour connaitre le montant de mon ticket ou en espérant n'avoir qu'un avertissement, on m'a cloué au sol tête première sur la sphalte, on m'a menotter en prenant soins de (tirer/tordre) le plus possible chaqune des 3 articulation du bras. Résultat, plusieurs veine du poignet droit petée (simple enflure mais forte douleur), plusieurs ématômes et saignement au visage, coude et bras gauche, un ticket de 215$ et un iphone brisé (ils m'ont redonné mon iphone juste avant de me relâcher) (Curieusement, ils m'ont relâcher dès que j'ai mentionné le mot "déontologie")..

Voilà. Autrement dit il s'agit d'un genre de Taxage protégé par la loi (car il est illégale de se débattre sous peine d'accusation)

Ville où l'événement s'est produit: 

Corp policier (SPVM, SQ, GRC, agent de la STM, etc): 

Pétition ''Arrêt de la corruption policière''

19 June 2013

"arret de la corruption policière".

Chers amis,

Je viens de créer ma propre pétition sur le Site de Pétitions Citoyennes d'Avaaz -- elle s'intitule "arret de la corruption policière".

Cette cause me tient vraiment à cœur et je pense qu'ensemble, nous pouvons agir pour la défendre. Mon objectif est de recueillir 10,000 signatures et j'ai besoin de votre aide pour y parvenir.

Pour en savoir plus et signer la pétition, cliquez ici:
http://www.avaaz.org/fr/petition/arret_de_la_corruption_policiere_1//?la...

Veuillez prendre un instant pour m'aider: faites passer le mot -- de telles campagnes démarrent toujours timidement, mais prennent de l'ampleur lorsque des gens comme vous s'impliquent!

Merci mille fois,
sqverite

Témoignage

19 June 2013

Sgt Dominique Fradette et Lieutenant Jannette Bolduc cover-up pour l'hôpital Fleury avec le directeur Bruno.J.l'Heureux contre patient ayant subi un voie de fait grave par les infirmiers et l'agence Kolossal.
No. d'événement#27-100521-028
Le 18 Mai 2010 j'ai été transporté à l'hôpital Fleury par ambulance suite à une phlébite des deux jambes. Je me suis quelque peu impatienté et l'infirmière a demandé un code blanc, inutilement.Or 2 infirmiers et et des agents de sécurité de l'agence Colossal mon pris par la gorge car j'étais assis dans un fauteuil roulant et m'on battu et expulsé de l'hôpital à coups de karaté.

On a confié l'enquête a sergent détective Dominique Fradette des enquête Nord 855 Crémazie Est Mtl. Des le début de l'enquête après deux semaines elle m'annonce qu'elle n'a pas trouvé le rapport du code blanc et qu'elle a fouillé avec une marche d'éventail une marge de vérification de 4 semaines.

Je lui ai demandé le rapport du Capitaine de l'agence Colossal avec la collaboration du Capitaine Pagé qui m'a affirmé qu'il lui avait remis tous les noms des agresseurs impliqués et elle continuais à dire qu'elle n'avais rien.

La sergent détective Dominique Fradette et sa supérieure la lieutenant Jannette Bolduc ainsi que le directeur de l'hôpital Fleury le DR. Bruno J" L'Heureux depuis 3 ans et demi on camouflé les voies de faits grave et sont complice d'un cover-up. Une vrai honte.
normand Filion 255 Henri-Bourassa Est apt 408 Mtn H3l#r7

Corp policier (SPVM, SQ, GRC, agent de la STM, etc): 

Nom du policiers (séparer par des VIRGULES s'il y en a plusieurs): 

LISTE DES MEMBRES DE LA SÛRETÉ DU QUÉBEC ACCUSÉS EN DÉONTOLOGIE POLICIÈRE DE 1990 À 2012

19 June 2013

VOICI LA LISTE DES MEMBRES DE LA SÛRETÉ DU QUÉBEC ACCUSÉS EN DÉONTOLOGIE POLICIÈRE DE 1990 À 2012 :

Nom, prénom Dossier matricule

Lemay, Jean-Luc C-2010-3651/3661/1 8739
Harvey, Pascal C-2010-3611-1 11673
Pelletier, Véronique C-2009-3511-1 12315
Gagnon, Stephane C-2008-3435 9435
Dechenault, Yves C-2008-3463-1
Malo, Simon C-2009-3552-1 12711
Cloutier, David C-2010-3650-1 12124
Rousseau, Steve C-2010-3650-1 11506
Bouchard, Stephane C-2006-3352 11987
Marenger, Yves C-2006-3551-1 10966
Boucher, Jean-François C-2009-3584-1 8042
Laflamme, Danny C-2010-3653-1 11745
Demers, Richard C-2006-3367-1 7668
Green, Rene C-2006-3335-1 10470
Barbeau, Jean C-2006-3383-1 11649
Pothier, Luc C-2006-3389-1 7044
Lemay, Jean-Luc C-2010-3651/3661-1 8739
Dube, Jacques C-2007-3414 8785
Potvin, Hugo C-2006-3385-1 9894
Dugas, Louise C-2006-3326-1 10092
Fortin, Robby C-2006-3348-1 10954
Bodet, Vincent C-2006-3368-1 11190
Turgeon, Richard C-2004-3179-1 10060
Vincente, Eugenio C-2005-3220-1 9024
Labbe, Yves C-2005-3217-1 8486
Gagne, Fabien C-2005-3258-1 7627
Ethier, Claude C-2005-3250-1 6965
Arseneault, Héliodore C-2005-3298-1 10097
Grenier, Steve C-2005-3313-1 10239
Deragon, Pierre-Yves C-1998-2599-1 7687
Bonneau, Rejean C-2003-3145-1 7435
Viau, Daniel C-2003-3145-1 10136
Dussault, Guy C-99-2735-1 7878
Bigras, Alain C-2000-2941 8229
Panneton, François C-2004-3192-1 7902
Briand, Carole C-2003-3153-1 8671
Labbé, Yves C-2003-3152-1 8486
Boutin, Luc C-2000-2934-1 8157
Lacasse, Steeve C-2000-2934-1 8953
Sasseville, Stephane C-2007-3422-3424-1 9184
Panneton, François C-2004-3192-1 7902
Drouin, René C-94-1517-1 6775
Lebeau, Alain 94-1517-1 4618
Bernard, Jean 2000-2933-1 5276
Daoust, Benoit 2000-2950-1 9175
Duquette, Frédéric 98-2614-1 8216
Paré, Martin 98-2615-1 8424
Ferland, Yanik 99-2814-2815-2816 9164
Dubuc, Alain 96-1823-1 8326
Simard, Luc 2000-2865-1 8073
Séguin, Claude 94-1399-1 4904
Ledoux, Marie-France 2000-2911-1 9068
Sauvageau, Mathieu 2000-2964-1 8769
Lacasse, Sylvain 96-1762/1763-1 8653
Tardif, Richard 96-1762-1 7938
Morin, André 97-2282-1 6090
Ouellet, Denis 97-2283-1 5309
Laforest, Guy 2000-2910-1 8190
Martineau, Yves 99-2801-1 8574
Boulet, Yves 96-1929-1 8057
Pelletier, Michel 94-1399-1 7473
Bourgouin, Bernard 99-2725-1 6648
Dagenais, Jean-Guy 2000-2963-1 6034
Laflamme, Anicet 2002-3061-1 6309
Therrien, Mario 2000-2911-1 8302
Desrochers, Martin 2002-3066-1 9028
Roy, Francis 2001-3002-1 7803
Beaudoin, Jean 2000-2958-1 8205
Longpré, Martin 2001-3038-1 8624
Beaulieu, Benoit 2001-3048-1 9698
Tancrède, Yves 2001-3050-1 7119
Daoust, Benoit 2002-3069-1 9175
Asselin, Luc 2002-3059-1 8982
Dussault, Jean-François 2002-3059-1 9269
Fraser, Denis 2001-3002-1 8418
Boulay, Paul-Aimé 2001-3041-1 6957
Thibault, Carl 2003-3137-1 8839
Paré, Jules 2001-2968-1 7299
Picard, René 2001-2969-1 6400
Addy, Pierre 98-2440-1 4961
Bourque, Donald 95-1559-1 6128
Thibault, Jean 95-1559-1 6215
Proulx, Normand 97-2216-1 6328
Sauvé, Jean-Pierre 98-2416-1 8828
Dumouchel, Alain 98-2437-1 7528
Trudeau, Yves 98-2710-1 7614
Borduas, François 91-1040-1 5501
Landry, Lucien 91-1040-1 5373
Turcotte, André 91-1041-1 4639
Dufour, Guy 98-2541-2 593
Holmes, Kathy 98-2632-1 9187
Lavoie, Dominique 98-2633-1 7500
Juneau, Denis 99-2791-1 8872
Moreau, Johanne 99-2793-1 8243
Brochet, Denis 98-2688-1 20014
Leblanc, Jean-Guy 98-2574-1 5051
Fortin, Robert 97-2310-1 7951
Lemay, Charles 98-2354-1 5639
Bédard, Normand 98-2388-1 4364
Mercier, Gilles 98-2570-1 8773
Dupuis, Nathalie 98-2632-1 20104
Girard, Dany 98-2587-1 8849
Richard, Benoit 98-2587-1 9226
Kwnag, Il Kim 98-2588-1 8992
Dargis, Gilles 98-2513-1 6773
Robert, Michel 97-2303-1 8372
Gagné, Denis 97-2286-1 7531
Plante, Pierre 99-2820-1 5489
Bilodeau, Eric 96-1930-1 7673
Lemelin, Éric 96-1930- 1 8318
Huard, Daniel 96-1916-1 8965
Guay, Normand 97-2230-1 8041
Larouche, Michel 97-2230-1 8122
Gascon, Pascal 97-2052-1 8892
Lecavalier, François 97-2232-1 8670
Labelle, Michel 97-2338-1 7882
Bouchard, Gilles 98-2361-1 8311
Lamontagne, 98-2361-1 8118
Hamel, Stéphane 97-2326-1 9086
Bigras, Alain 98-2371-1 8229
Gillissen, Léon 98-2471-1 6941
Roy, Yves 95-1755-1 5539
Juneau, Alain 95-1645-1/1646 8351
Bastien, Stéphane 96-2010-1 8162
Larouche, Hugues 96-2010-1 7800
Ouellet, Réjean 96-2009-1 7711
Il Kwang, Kim 98-2588(?) 98-2485-1 8992
April, Claude 97-2051-1 5218
Gingras, Yanik 97-2036/2037-1 8280
Bonneau, Réjean 98-2417-1 7435
Parent, Mario 98-2564-1 7855
Latouche, Daniel 97-2149-1 5772
Pelletier, Donald 93-1263/1283-1 7828
Lajeunesse, Jacques 97-2034-1 7872
Jolicoeur, Jean 96-1933-1 5568
Petitclec, Nicolas 96-1854-1 5778
Bigras, Alain 96-1996-1 8229
Dion, Gino 93-1263-1 8598
Nantel, Christian 93-1263-1 8530
Paquin, Sylvain 93-1263-1 8533
Dionne, Marc 97-2032-1 6415
Beaudry, Pierre 93-1263-1 8586
Bertrand, Gilles 96-1995-1 4976
Bertrand, Stéphane 93-1263- 1 8596
Blanchette, Patrick 93-1263-1 8562
Dufour, Bernard 96-1905- 1 8267
Nadeau, Pierre 96-1905-1 8255
Faucher, Jacques 95-1673-1 7629
Ferland, Denis 96-1831/1832-1 8674
Fortin, Mario 96-1832/33/34-1 9042
Hopson, Charles 96-1881-1 8329
Lachance, Sylvain 96-1835/1836/1837 8770
Simard, Alphé 96-1835/1838-1 8666
Bouchard, Raymond 94-1526-1 4981
Duncan, Allan 94-1526-1 4610
Trudeau, Pierre 94-1526-1 8153
Whitty, Pierre 94-1526-1 8350
Bergeron, Alain 96-2023-1 6991
Trottier, Pierre 96-2022-1 7355
Beausoleil, Luc 97-2345-1 8673
Juneau, Denis 95-1757-1 8872
Slicer, Alain 95-1756-1 8231
De Cuyper, Richard 95-1746-1 6741
Loignon, René 95-1640-1 7631
Lépine, Marc 95-1591-1 7781
Bilodeau, Jean 94-1412-1 8391
Brault, Henri 94-1414-1 6587
Lapointe, Alain 95-1603-1 7810
Rioux, Philippe 95-1603-1 6457
Benoit, Yves 93-1291-1 4972
Dionne, Mario 93-1299-1 7462
Gauvin, René 93-1299-1 5986
Turcotte, André 93-1291-1 4639
Fortin, Nancy 94-1361-1 7940
St-Onge, Jean-Paul 94-1342-1 4075
Gauvreau, Jacques 93-1314-1 7085
Lehouillier, Réal 94-1347- 1 3457
Morais, Jean 93-1317-1 7931
Bégin, Richard 93-1294-1 6865
Lemay, Gérald 92-1064- 1 7950
Gauvin, Marcel 94-1424-1 5021
Roy, Jacques 94-1390- 1 8467
Tessier, Marc 94-1390-1 8627
Saulnier, Yves 94-1390-1 7746
Gingras, Gaétan 92-1177-1 7884
Landry, Martin 94-1384-1 8604
Paré, Martin 96-1858-1 8424
Hardy, André 92-1227-1 4855
Lussier, Alain 96-1860-1 6623
Plourde, Patrick 94-1547-1 7807
Lapointe, Réal 95-4-1556-1 7105
Maltais, Gratien 91-1038-1 6558
Bacon, Pierre 92-1065-1 5221
Rouillard, Gaétan 94-1436-1 3757
Beauchemin, Robert 92-1110-1 6668
Gauvin, Jean-Guy 92-1110-1 5634
Bazinet, Alain 94-1538-1 7431
Lemieux, Jean 94-1538- 1 4933
Gilissen, Léon 95-1650-1 6941
Langevin, Claude 94-1525-1 8132
Martineau, Richard 95-1632-1 5071
Sénécal, Michel 96-1829-1 6579
Gosselin, Michel 95-1627-1 3851
Dumon, Guy 91-1021-1 4652
Gauvin, Gérard 91-1021-1 3848

Corp policier (SPVM, SQ, GRC, agent de la STM, etc): 

Témoignage

19 June 2013

http://sqverite.com/index.php/documents/histoire

1# Nous sommes une famille qui habite dans une petite région de Québec, depuis des années nous subissons des préjudices sérieux et nous continuons à en subir, nous avons goûtés à la médecine du service de police de Québec. Laissez-moi vous raconter. Moi, Richard, dans la quarantaine, je suis natif du bas du fleuve, j'ai quitté la demeure à l'age de 18 ans sans un sou en poche, pour le premier boulot ça été difficile, j'ai du prendre celui qu'on m'offrait. J'ai connu ma première conjointe à l'âge de 20 ans. Nous avons décidé d'aller vivre dans la région de Québec où j'ai trouvé un travail dans une entreprise de nettoyage et plus tard dans une conciergerie de plusieurs logements. À l'époque Mélanie, ma conjointe avait un boulot comme danseuse nue! comme je n'étais vraiment d'accord, elle s'est trouvé un autre travail un peu plus gratifiant. Durant ce temps, nous travaillions très fort pour subvenir à nos besoins, avec notre maigre salaire nous arrivions quand même à manger et payer nos comptes, mais avec deux boulots la fatigue se fessait assez vite se sentir.

2# Mélanie tomba enceinte, j'en étais très heureux, la mère de celle-ci s'objecta à ce que Mélanie est cet enfant, elle disait que nous n'avions pas les moyens de le garder. Mélanie se faisait avorter. En novembre, elle tomba enceinte de nouveau, c'était une fille, nous l'avons appelé Julie et plus tard elle retomba enceinte en xxx et c'était au tour de George de naître, nous avions appris que cet enfant avait une trisomie 21. De mon côté, ça ne posait aucun problème, je dis même à Mélanie que c'est tant mieux, nous aurons soins d'un grand bébé pour restant notre vie, c'était merveilleux.

3# Mélanie en a fait une grosse dépression, elle ne s'en est jamais remise, elle n'a jamais voulu collaborer avec des psychologues. L'évolution de l'informatique avait percé le marché privé, elle occupait son temps sur l’ordinateur, elle en oubliait les enfants. J'avais deux travail, je fessais de mon mieux quand j’arrivais à la maison, je prenais soins des enfants, préparait les petits cubes de nourritures, donnais leurs bains,etc. Chaque fois que j'arrivais de l'ouvrage, c'était toujours à recommencer, sur le comptoir de la cuisine traînait de la vaisselle, Julie était près de la fenêtre et attendait que je lui prépare le repas. Je retrouvais mon fils George enroulé dans une couverture comme une saucisse, comme Mélanie aimait si bien répéter afin qu'il ne bouge pas.

4# J’espérais un jour avoir un peu de soutien de la mère pour qu’elle s'occupe de nos enfants, ça n'est jamais arrivé. Un jour essoufflé par cette vie, en arrivant du travail, Mélanie sur l'ordinateur ne fit même pas de me dire bonjour! Je lui demande d'aller chercher des couches à la pharmacie, elle me répond non! Par cette réponse j'ai tiré sur le cordon d'alimentation, j'en avais assez, elle prit le fil, me fouetta et couru paniqué dans la cuisine pour aller chercher un gros couteau, elle fonça vers moi comme une enragée, ma fille Julie venait d'être témoin et heureusement pou,r moi la porte pour sortir à l'extérieur n'était pas barrée.

5# Les policiers sont venus aussi tôt, ils m'ont fait bien comprendre clairement que je n'avais plus ma place. J'ai quitté et je suis parti avec ce que j'avais sur le dos et ma veille Tempo. Nous étions au mois de novembre, j'ai dormi quelques jours dans cette voiture, un soir je suis allé au guichet pour retirer un 20$ pour mettre un peu d'essence, j'ai eu la surprise de voir mon compte bloqué. Comme je repartais à zéro, j'ai trouvé une maison de chambre et je me suis remis sur pieds tranquillement pas vite.

6# Mélanie me demandait pourquoi je ne voulais pas retourner à la maison, il n'en était pas question! Je prenais toujours grands soins des enfants et j'apportais le nécessaire. Mélanie me privait quand même de contact avec les enfants. Ma fille Julie elle comprenait ce qui se passait au contraire de George qui lui était trop petit. Quelque temps plus tard, je quitte la maison de chambre pour aller m’établir avec Nathasha et sa fille.

7# Le tribunal me donna l'autorisation de visiter mes enfants une fin de semaine sur deux, graduellement je prends conscience que mes enfants vivent une grande insécurité. Julie ma fille me dit que sa mère veut bien m'aider, elle pourrait m’accueillir pour dormir sur le tapis le long de son lit. Ma fille et moi, nous avions une très très bonne relation à cette époque, je ne me rends pas compte que s'était un complexe d'édipe, possiblement que notre relation dérange Mélanie. Elle décide de faire suivre Julie par le CLSC pour essayer de me trouver des bibites. Suite à son intervention, le centre vient à la conclusion que c'est madame qui "cause les problèmes" (voir rapport DPJ).

8# Lorsque nous avons été convoqués au centre pour qu'il nous explique, les problèmes ne venaient pas de moi, Mélanie est devenue tellement rouge lorsqu’il lui a dit que les problèmes vécus par l’enfant venaient du côté maternel, qu’elle était à l’origine du dysfonctionnement de ses enfants. Elle n’a jamais retourné Julie pour d’autres rencontres ça c'est terminé là. Le centre lui à trouvé un problème psychologique d’aliénation parentale à mon égard, le centre a précisé que Mélanie avait la ferme intention de m’anéantir.

9# Entre temps j'ouvre une petite entreprise d’éclairage.

10# Quelque temps après, la DPJ reçoit un signalement pour la mère, mauvais traitement envers les enfants, je me vois donc dans l'obligation d'intervenir auprès de la Cour. On me donne la garde des enfants du dimanche au jeudi. Pour ne pas nuire à leurs routines de vie, je m'engage à ne pas les changer de leurs milieux d'enseignement, je vais matin et soir les porter à leurs écoles. Ça va relativement bien avec les enfants. Je fais alors la demande à la mère de m'aider étant donné que je vivais des difficultés financières, un peu plus tard je reçois une lettre de l’huissier, elle me redemandait la garde des enfants la cour lui redonna et j'avais encore droit une fin de semaine sur deux.

11# Je fais alors faillite à l'insu de la mère, je me retrouve sur les bancs d'école et a travaillé les soirs dans un Club vidéo. Je me rends de plus en plus compte que les enfants sont tout croche, George vit des gestes de violences pendant que Julie s'invente des histoires imaginaires, déteste plus que tout que moi le papa ait une relation amoureuse avec une autre femme. Lorsque je n’avais personne dans ma vie, bien l’attitude de Julie (George n’en faisait pas de cas) était très différente. Elles (Julie et Mélanie) était très gentilles et toujours de bonne humeur.

12# Je fis connaissance d'une femme qui habitait tout juste en haut du logement de chez ma sœur. Celle-ci démarra alors une compagnie dans le bas St-Laurent. Étant donné que je connaissais à beaucoup de gens dans Québec/Lévis, et bien la compagnie a beaucoup plus de succès dans ces régions.

13# Entre temps, je tombe en amour avec cette femme et on demeure ensemble dans un 4 1/2 à Duberger. L'arrivée de Laurence dans ma vie n’a pas plus à Julie. Elle réagit de plus en plus fortement. Je me rappelle très bien la première fois où Laurence est venue à l'appartement, Julie s’est mise à courir partout autour du bloc, en hurlant à tue-tête, je courus après, afin de tenter de la raisonner sous les yeux scandalisés de certains voisins. Pendant que Laurence qui ne connaissait pas George tentait du mieux de le calmer.

14# Je crois alors que ça passera graduellement, j’ai l’impression que Julie accepte un peu plus cette relation avec Laurence. Je me rencontre que c'est très difficile, ce n'est pas comme chez maman, je ne fais rien comme maman, maman lui a dit que j’avais vidé son compte de banque quand je suis parti. Pour ne pas rendre ça plus difficile, je la laissai avec ses idées, parce que si je lui avais dit le contraire et bien ça me coûtait une fin de semaine de boudinage à n’en plus finir. Donc, je ne corrigeais pas ses dires afin de ne pas la faire choquer. Loin de moi l’idée que ça aurait pu dégénérer autant. De plus, petit à petit, je me rends compte qu’elle me fait acheter du linge et elle ne le met pas. Elle se lave et remet le même linge de chez maman. Elle me fait acheter plein de choses à manger en me disant « que c’est donc bon ça… » elle ne les mange pas. Elle me fait acheter des jeux… elle n’en joue pas, etc.

15# Plus tard nous faisons l’acquisition d'une petite maison qui est située dans le vieux Stoneham(étant donné ma faillite, je ne pouvais emprunter à nouveau) Julie qui était presque à l’adolescence réagit négativement, mais toute même elle finit par accepter, je réussis tant bien que mal à lui faire comprendre que graduellement qu’on l’aménagera beaucoup mieux.

16# La première fin de semaine qu’ils viennent passer à Stoneham, avant leurs arrivées on finalise la décoration de leurs chambres. Le vendredi matin Julie appelle pour me demander la permission d’emmener une amie pour la fin de semaine, j’accepte en me disant que ce serait peut-être mieux étant donné son nouveau milieu.

17# Laurence aimerait bien remplacer les fenêtres de la maison, car au prix payé pour la maison, des rénovations étaient prévues. Une fin de semaine, le retour des enfants, Julie boude parce que la fenêtre dans la chambre de son frère George était un peu plus grande que la sienne. Pour satisfaire Julie, on descend à Québec pour acheter une deuxième fenêtre. Rendue sur place, elle n’en voulait plus, nous ne comprenions plus rien.

18# Nous avons commencé à vivre certains problèmes. Au début de septembre nous revenons de travailler tous les deux en soirée, on peut apercevoir que chez notre seul voisin proche des lumières rouges, bleues et blanches, le party en pogné, ils sont une bonne vingtaine à écouter de la musique à tue-tête ils hurlent comme des vrais déchaînés. Je tente une approche pacifique en leur disant poliment que nous venons de finir de travailler et que nous aimerions nous reposer, s'il pouvait baisser un peu leur musique. Nous avons été estomaqués par leurs réponses : "On avait la paix avant que vous arriviez, j'vais te la faire brûler ta cabane, pis j'fais te tuer toi pis tes ostis de chiens!!!" Une vingtaine de jeunes à moitié saouls et probablement drogués.

19# Nous ne pouvons les raisonner, nous faisons donc appel au service de police de la sûreté du Québec. Ils interviennent rapidement et la tranquillité revient peu à peu. On dort sur les nerfs, se faire endormir asphyxier par une maison en feu ou encore de se réveiller avec nos chiens raides morts dans leur enclos dehors. Le lendemain, ma sœur venait nous visiter, dans la haie, elle entend de grands respires près de la clôture du voisin, elle a eu très peur. À chaque jour que l'on vit, nous sommes envahis par les menaces passées. On vit par peur d'arriver du travail et que la maison ne soit qu'un amas de cendre.

20# Nous mettons la maison à vendre que 10 mois après son achat. Sans pancarte « À vendre » pour ne pas qu'ils le sachent. Tellement terrifié par tous ces évènements que la Sûreté du Québec du Lac Beauport nous recommande fortement les services du CAVAC (Centre d'Aide aux Victimes d'Actes criminels) mais n'ont jamais procédé à des arrestations pour menaces, pourtant les menaces étaient claires.

21# Stressé et terrorisé, on dissimulait nos craintes aux enfants, on prévoyait moins en moins de sorties au cas ou la maison passerait au feu. Depuis trois semaines Julie me demande notre adresse, je lui demandais pourquoi? Elle me dit que « maman m’a dit que c’est l’école qui demande ça! » enfin bref, elle me l’a demandé plusieurs fois, j'ai téléphoné à son école afin de vérifier s’ils avaient réellement besoin de mon adresse. La dame me répondit, non, nous n’avons pas besoin de votre adresse, monsieur. Donc, maman mentait.

22# Julie était de plus en plus souvent sur internet. Un soir j’ai vérifié ses courriels, elle avait laissé la web Cam ouverte sur le mode enregistrer et je voyais ma fille se retourner constamment vers l’arrière comme si elle était nerveuse que je la surprenne. Pourquoi, je l’ignore encore. Je pense qu’elle communiquait avec sa mère et qu’elle ne voulait pas que je le sache.

23# Nous avons eu une offre sur notre maison, la seule condition pour la vente, nous devions quitter les lieux dans les 7 prochains jours, par contre, une autre ombre au tableau nous avions 7 jours pour trouver un logis qui accepte 2 chiens, 2 chats, des poissons. Nous avons quand même trouvé un endroit dans une petite ville dans Portneuf, sur 25 arpents de terrain, un chalet habitable et une petite maison. On se rend compte que les chiens jappent énormément, plus qu'à l'habituel. On est à plus de 400 pieds dans les bois, la peur nous prend. On prend conscience que peu être notre voisin de Stoneham nous a suivis lors du déménagement et qu’il venait au bout de la montée avec ses chums pour nous faire peur.

24# Tout à dérappé en décembre xxx, alors que les enfants sont à la maison Mélanie appel pour me prévenir qu'elle descendait dans le bas St-Laurent pour Noël et que j'aurais les enfants pour le jour de l'An. Je suis très insatisfait je lui dis alors que pour une fois que l'Ordre de Cour est respecté, je n'avais jamais eu les enfants pour Noël. J'aimerais bien le célébrer cette année, Julie n'était pas vraiment contente elle hurlait son désaccord. Mélanie criait tellement fort au téléphone que Laurence pouvait entendre très clairement ses propos, elle était située dans la cuisine alors que je parlais au téléphone dans le salon. Elle me dit "je vais m'arranger avec ça". Je retourne les enfants le dimanche au soir comme à l'habitude. Elle porte plainte pour abus physique envers George. (voir dossier joint)..........non seulement je n'ai pas passé Noël, mais je n'ai pas passé le jour de l'An non plus avec les enfants.

Noël, mais je n'ai pas passé le jour de l'An non plus avec les enfants.

25# En décembre je me retrouve avec Laurence au poste de la Sûreté du Québec afin qu’ils prennent de ma déposition. En janvier, maman coupe encore les contacts pour ma fin de semaine sur deux de visite jusqu’à ce que l’on retourne en Cour. Ce geste constituait un outrage au tribunal que la cour ne fit de rien. Je comprenais alors ce qu’elle avait voulu dire dans sa conversation téléphonique« je vais m’arranger avec ça » ce qui a été dur à vivre c'est que l’enquêteur m’apprenant que j’avais une plainte de violence envers George et peu après il m'apprenait que ma propre fille Julie avait fait une déposition contre moi. Laurence et moi nous ne comprenions rien. Laurence qui ne s'était jamais retrouvée devant les policiers pour déposer une déclaration, elle était nerveuse, ça va de moins en moins bien dans le couple également. Sur le terrain, il avait 2 maisons, on n'a décidé de vivre dans chacune des maisons. Je dois essayer de régler mes problèmes, j’ai besoin de temps.

26# Quelque temps plus tard, je reçois une lettre du procureur, cette lettres stipule qu’étant donné la difficulté à déterminer si la marque sur George provenait de chez moi ou de chez la mère et bien que pour cette fois-ci, elle n’en tient pas compte par contre que s'ils reçoivent d’autres plaintes du même genre envers George et/ou d'autres individus, que ce présent dossier serait en preuve.

27# Mme Légaré du centre jeunesse vient me rendre visite afin de voir où j’habitais. Elle est stupéfaite de réaliser que Julie avait sa propre chambre à coucher. « C’est bien évident! » Julie disait à sa mère qu’elle n’avait pas de chambre à coucher chez papa. J'avais beaucoup de difficulté le pourquoi tous ces mensonges.

28# À la cour, alors que la maman et Julie se font véhiculer allez-retour par Mme Légaré, des services souvent rendus pour les rendez-vous, DPJ, pour les rencontres à l’école, etc. À l’audience, ma propre fille Julie me dit « toé va chier » et cela, en pleine Cour, pas la peine de vous dire qu’elle ne voulait plus revenir chez moi. À treize ans la Cour prend en considération le choix de l’enfant, donc elle n’est jamais plus revenue par la suite. Par contre, je retournai chercher George suite à l’obligation de la Cour de me laisser mon droit de visite.

29# Mme Légaré, prend le temps de dire au Juge que je vivais dans un domaine et elle demandait au Juge, si lui ne trouvait pas ça drôle que moi et Laurence demeurions voisin un de l’autre et que nous travaillions ensemble? Le Juge demande à Mme Légaré d’établir clairement où elle voulait en venir avec ces propos.

30# Mme Légaré tentait de créer un doute dans la tête du Juge en spéculant sur ses idées personnelles. Son attitude partisane me choqua, quelques jours plus tard, je faisais parvenir une lettre à son supérieur afin qu’elle soit retirée du dossier pour son manque de professionnalisme et son manque d’impartialité.

31# Peu de temps après, Mme Légaré elle-même, appel et m’implore de rester dans « le dossier ». Je la trouve audacieuse d’oser m'appeler suite à la lettre dénotant simplement et clairement le mauvais travail qu’elle avait fait. Elle était sois disant nerveuse en Cour, que c’est pour ça qu’elle aurait déblatéré à mon sujet. Je tentai de lui faire comprendre les grands impacts de son attitude. Elle démontrait une certaine repentance. J'acceptai croyant naïvement qu’elle aurait tiré une certaine leçon pour ses prochains « dossiers ».

32# En plus, l’avocat à Mélanie Me Boucher tentait de laisser planer le doute, comme si je me serais caché derrière Laurence. Lorsque Laurence a appris la stipulation de Me Boucher, elle s’est empressée de replacer les pendules à l’heure en écrivant une lettre à monsieur ainsi elle lui à envoyé une copie de l’inscription de l'entreprise au Registraire des entreprises du Québec afin de lui informer de l’exactitude des faits.

33# Aux rencontres avec les intervenants de la DPJ, CLSC, etc., on insinue à plusieurs reprises que je n’accepte pas la rupture, que je harcèle mon ex-conjointe Mélanie. Si je n’accepte pas cette rupture, c’est assez contradictoire. - C’est quand même moi qui la quitté voilà de cela plus de 11 ans. Je me suis refait une vie amoureuse. Depuis le temps je n'avais jamais été accusé de quoi que ce soit! mais faut dire que j'ai toujours eu beaucoup de difficulté à m'entendre à propos des enfants. Je ne désire plus aucun contact avec la mère. Par l’entremise de la Maison de la Famille, que tous les organismes que ce soit DPJ, CLSC conservent mon adresse confidentielle, aux rencontres pour George à l’école, je ne veux pour en aucune considération me retrouver en présence de la mère.

34# Entre temps, Nathalie fait arpenter le terrain. 2 arpenteurs viennent marcher, analyser, piquer le 14 arpents de terrain et par curiosité nous les accompagnons pour voir jusqu?où il se terminait. Nous sommes aperçus que des gens venaient et fessait des feux pour se rassemblé autour. L'arpenteur-géomètre découvre qu'un bout de terrain qui nous appartiendrait n'avait jamais été validé à l'enregistrement. Elle fit donc les démarches pour rendre le tout légal. Lorsque l?arpenteur a rendu cela légal, on pouvait très bien entendre des coups de feu, des gens qui arrêtent dans la côte. Nous étions victimes d'intimidation due au fait qu'ils ne pouvaient plus venir faire leur feu.

35# Nous avons fait installer des caméras, nous avons capté un homme avec un fusil marcher le long du chalet. Pour la Sûreté du Québec, ce n'était pas plus important, ça ne saignait pas. Encore des coups de feu, ce n'était pas le temps de la chasse. La réponse reçue de la Sûreté du Québec:« le temps que nous allons arriver sur place ils auront depuis changé de place ou ils auront quitté les lieux. Un des policiers s'échappe en nous disant qu'il venait de faire une grosse saisie tout près. Tout nous laisse croire qu'on est au beau milieu d'une plantation de cannabis.

36# Janvier, Mélanie perd la garde de George pour mauvais traitement, depuis on me le confie. J'appelle Mme Légaré pour m'informer si la sécurité de Julie était elle aussi compromise? Elle tente de me sécuriser en me disant, pour Julie que tout allait bien. Que sa consommation d'alcool et de stupéfiant était modérée qu'il n'y avait vraiment pas à s'inquiéter pour elle. Que tout était parfaitement normal. J'étais scandalisé d'entendre ces mots de la bouche d'une femme travaillant pour la protection de la jeunesse?. Je ne comprenais vraiment pas.

37# Mme Légaré semblait dire qu'elle était correcte, mais peu de temps après Julie est placé dans un foyer fermé. Avant d?entrer au centre, elle aurait bousculé sa mère et lui aurait dit de faire bien attention à elle si ne voulait pas qu'il lui arrive la même chose qu'à moi.

38# George lui n'allait pas bien, il est à mi-temps à l'école par rapport à son comportement violent. Il faut trouver des ressources pour nous aider. Étant un travailleur il fallait faire quelque chose. J'ai réussi de peine et misère à trouver un endroit pour l'après-midi graduellement de février à juin l'école réintégrait George. Il fût réintégré à temps plein.

39# Cherchant une nouvelle maison, étant donné tout ce lot de problèmes, nous, nous sentons inquiet. Je décide de prendre un loyer à St-Casimir. C'est le grand déménagement janvier. St-Raymond, c'est une petite paroisse espérant trouver enfin le calme et la tranquillité. Ce fut assez de courte durée.

40# Avant même de recevoir l'appel d'un enquêteur du service de police de Lévis, j'avais appris que ma fille était pour m'accuser d'attouchement sexuellement. Quelques semaines passèrent et l'enquêteur ne finit pas téléphoner pour me demander si je voulais collaborer afin d'aller faire une déposition, ce que j'acceptai sur le champ. Je suis aller faire ma déposition. En tout premier lieu, je leur ai dit et répété à plusieurs reprises que je venais pour chercher de l'aide afin de me protéger des coups de plus en plus durs que Mélanie nous infligea continuellement. Je leurs est demandé alors de passer le détecteur de mensonges. Ils ont poussé l'audace, ils m'ont questionné sur mon statut d'autochtone de quelle génération j'étais. Une question non pertinente qui insinue ce qu'ils voulaient bien insinuer. Qu'ayant un statut indien que tous les Indiens sont des agresseurs. L'enquêteur me dit « commence par passer sur le détecteur et ensuite on regardera ça ensemble pour que l'on t'aide » (J'attends encore)

41# Le xxx, je passe sur le grand fauteuil, je suis connecté de partout afin de subir le détecteur de mensonges durant 4 heures. Le résultat s'avère être entièrement négatif. Par contre, l'enquêteur prend un malin plaisir de me dire « que ce n'est pas valide au point de vue d'accusation criminelle, que ce n'est valide qu'au niveau des Centres Jeunesses ». (Celle-ci je ne l'ai jamais compris) mais c'est là que j'ai compris qu'ils n'aiment pas avoir tord. J'étais très soulagé car jamais au grand jamais j'ai agressé ma fille, c'est pour cette raison que j'ai

proposer de passé le polygraphe, pour effacé tout doutes.

42# Selon les enquêteurs, Julie parle de cela depuis que nous avons habité à Stoneham. Ils me font des allusions de violence, d’avoir volé mon pays, qu’il connaissait un gars qui se faisait lécher les parties par des animaux, ils ajoutent alors que « ça, c’est une autre affaire, c’est autre chose! » Abasourdi par tout ce charabia, en sortant de là, je me demande déjà qu’elle autre coup que je vais subir de cette femme, qu’est-ce qu’elle va encore manigancer?

43# Je vous est parlé que ma fille aimait bien être sur internet avec sa Web Cam. Quelques jours plus tard, je suis sur l'ordinateur, un lien apparaît, je clique sur une icône MSN, je tombe sur une page de site de photos un peu érotique et j’aperçois la photo de ma fille. J'ai immédiatement alarmé l’enquêteur de Lévis et Mme Légaré de ce que je venais de voir.

44# Mme Légaré me confirme que tous les jeunes aujourd’hui font ça de se prendre des photos et les déposer sur le Web et qu’on a souvent tendance à croire que ce sont des photos érotiques alors que ce sont simplement des photos féminines. L'enquêteur quant à lui de son côté, il me dit qu’il allait vérifier l’exactitude des faits. Plus tard il m’affirme "qu’après vérification et bien que ce n’est pas Julie. De faire confiance à Mme Légaré qu’elle était une femme très compétente et que si Julie serait dans le besoin qu’elle sache intervenir, d’être sans crainte. De ne pas s’inquiéter que c'est une intervenante très professionnelle.

45# En mai, Nous avons fait une découverte au Registraire des entreprises. Quelqu’un avait créé une compagnie au même nom que la compagnie à Laurence, mais à mon nom. À l’époque où cette compagnie aurait vu le jour, j’étais alors en faillite de l'autre compagnie portant un autre nom. Je doute une fraude à notre insu. Ne sachant quoi faire, j’appelle l'enquêteur et nous demande de le rencontrer. À notre entretien au poste, Laurence se joint à cette rencontre. À peine rentré dans le bureau, l'enquêteur nous dit simplement que ce n'est pas son département qu’il ne pouvait pas faire grand-chose en pareille situation. Mais tout juste avant de quitter les lieux, l'enquêteur demande à Laurence quelle était sa date de naissance et prend en note. Selon lui c'est pour "des fins administratives"… Laurence fût très surprise et elle répondue… Bizarre quand même. (Pour les gens qui ne comprennent pas, cet enquêteur, puis-je présumer que c'était un bon moyen pour avoir la date de naissance de Laurence, pour nous dire qu'ils vont arranger ça) Suite à cette enquête, au registraire des entreprises du Québec ils ont conclu à une fraude à mon insu.

46# Ma cousine (sa fille se tient avec Mélanie) elle lui aurait confié qu’elle avait envoyé une lettre au Fisc afin de salir notre réputation, entre autres, qu'il y aurait de la fraude avec l’entreprise, que je volais mon pays, les clients, etc. (Une rumeur qui semblait bien réelle) Puisque Laurence s’est fait vérifier, par le chômage, par le service de la paie du gouvernement et même par l’assurance maladie.

47# Entre temps j’ai appris que Mélanie se promettait de faire tout un party lorsqu’elle va réussir à me faire mettre en prison et qu’elle s’en prendrait aussi à ma mère et la tuerait. Le pire, c’est que j’ai tout dit ça aux enquêteurs pour avoir de l’aide pour qu'ils me protègent, À ma grande surprise « c’est dur à prouver! »

48# Au printemps, le Centre Jeunesses m’appelle, la dame qui s’occupe de Julie m’a demandé si je pourrais remplir le formulaire à l’effet de son statut indien. Selon Mélanie, Julie y aurait droit. Je lui dis je la tiendrai au courant. Dans ce même entretien téléphonique, elle m’apprend comme ça tout bonnement que Julie avait bu des produits de nettoyage afin de mettre fin à ses jours… Bravo pour la communication.

49# Pendant l’été, j’appelle ma cousine Gisèle pour prendre de ses nouvelles, tout en jasant, le sujet de Mélanie est venu sur la table. Elle me confit que Mélanie veut me faire passer pour un pédophile. (Ce n'est pas vraiment quelque chose qui me surprend)

50# En juin, il fallait que je retourne à la Cour pour le placement de George. Lorsque j’ai reçu le rapport de Cour par l’huissier, je me suis contre que mon adresse était indiquée. Je fais immédiatement appel au bureau de l’huissier afin de savoir si mon adresse était également inscrite sur la copie qui a été remise à Mélanie. Elle me répond "oui" je lui savoir mon mécontentement, l’adresse devait demeurer confidentielle.

51# En septembre, par souci de protéger d’autres personnes, je décide de faire une plainte à la Déontologie policière concernant les propos discriminatoires de l'enquêteur de la Sûreté municipale de Lévis.

52# Ma tendre enfance n'a pas été facile, j'ai été agressé par certains membres de ma propre famille. Je me souviens très bien et vous savez ces choses ne s’effacent pas, c'est vers la fin 78. J'ai eu beaucoup de misère à réussir même en n'en parler. Dans le temps il ne fallait pas parler de ces choses, c'était très mal perçu! J’ai voulu porter plainte et dénoncer leurs agissements passés. J'ai porté plainte à la police, celle-ci qui au début je croyais qu'il s’intéresserait sérieusement et m'encouragerait dans mes démarches pour que je puisse enfin réussir à fonctionner dans ma vie.

53# Fin mars, je suis allé au bureau du service de police de ma région natale afin de déposer une plainte à l’endroit de mon demi-frère pour abus sexuel sur moi alors que j’étais tout petit.

54# Le contraire s'est produit, ils ont plutôt essayé de contourné le problème en évoquant le fait que ça fait trop longtemps que je devrais oublier cela, que de toute façon que j'ai grandi pareil, que ça ne réglerait rien de revenir en arrière le temps arrangerait sûrement les choses et j’oublierais mes vieux démons. Comme je suis têtu, j'ai exigé qu'une enquête soit faite, les policiers ont bien voulu rencontrer les personnes mises en cause pour les confronter. Après les avoir interrogés, une après l'autre, les policiers et le procureur a décidé de rejeter ma plainte.

(On me reproche surtout de ne pas avoir porté plainte avant)

55# À la fin de mars, nous rencontrons un monsieur dans la région de Lévis, nous lui demandons conseil en rapport avec ce que nous vivons, il nous conseille alors d’appeler à la Sûreté du Québec et d’aller aux affaires internes. Dès que nous avons quitté l’entretien, j’ai tenté de rejoindre les affaires internes, pas moyen des joindre. Ça prend un nom sinon, je me fais dire que ce département n’existe même pas.

56# Je connais une personne de longue date qui travail dans un poste de la Sûreté du Québec dans une autre région depuis plusieurs années, je lui ai demandé par courriel de l’information concernant les affaires internes, voici la copie de son courriel : Bonjour, j'espère que tout se passe bien pour vous. En réponse à votre question, je suis désolé de ne pouvoir vous aider. Ce que je sais ce service regroupe 3 domaines dont, le volet discipline, déontologie et enquêtes spécial. Tout dépend de la question à poser. Ce service reçoit les plaintes et les analyses, mais son efficacité est discutable, car c'est la SQ qui filtre ce qui en ressortira comme réponse au citoyen.

57# pourquoi ils disent qu'ils n'ont rien obtenu des interrogatoires que personne ne veut avouer! Pensait-il vraiment que mon demi-frère aurait dit oui. En décembre on laisse tomber ma plainte par manque de preuve, donc présentement un pédophile est en liberté dans une petite région du bas St-Laurent.

58# J'ai été moi-même accusé d'agression sexuelle sur ma propre fille. Ce n'est qu’après avoir fait moi même la demande aux policiers de passer un polygraphe que les accusations sont tombées, 4 heures à répondre aux questions. Au début nous, j'exprime nous, car j'ai une famille, femme et plusieurs enfants. Nous avons été traînés dans la boue sur diverses allégations, de plus on s'est servi de mon statut génétique pour me ridiculiser, j'ai toujours été perçu coupable même après l'avis des spécialistes du polygraphe, même s'ils ne le disent pas.

59# Même après coup, ils n'ont jamais cessé de nous viser, nous sommes toujours sur surveillance, on nous persécute, ça n'arrête pas! Pourquoi, sommes-nous une race à part parce que nous n’avons pas le même profil génétique. Ma conjointe qui n'a jamais eu maille aux policiers vient d'être accusée de méfait. Dans ma petite région tout le monde se connaît, pompier, policier et ambulancier, des amis de longue date! comment pensez-vous qu'on se fait regarder? On nous méprise, les regards sont tournés vers nous.

60# Nous avons une entreprise respectable, nous somme connu dans tout Québec, nous perdons des clients et de l'argent dû à toutes ces allégations mensongères. Avant cette histoire, on générait des profits plus importants par semaine, maintenant c'est à peine si ont réussi à faire 7000$ à 10 000$ semaine, maintenant c'est à peine si ont réussi à faire 1000$, on est obliger d'aller travailler pour des concurrents. Nous sommes en processus de vendre pour aller s’installer dans la région de Montréal, notre seul choix c'est celui-là, nous ne sommes plus capables de vivre avec la pression qu'on nous fait vivre.

61# Qui nous en veux? nous le savons même pas, une chose que nous trouvons extrêmement bizarre, depuis que nous avons porté plainte en déontologie policière, ça n'arrête plus! pourquoi est-ce parce que je suis autochtone, pourquoi que ça jamais été mentionné dans notre petit journal du village que j'avais passé le polygraphe, ça aurait sûrement changé la vision des gens, pourquoi les journalistes en ont jamais parlé.

Ville où l'événement s'est produit: 

Corp policier (SPVM, SQ, GRC, agent de la STM, etc): 

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