Manif du 15 mars 2014 et actualités de cas de violences policières à Bruxelles

http://www.lesoir.be/494931/article/actualite/belgique/2014-03-15/quelqu...

Quelque 500 personnes ont manifesté à Bruxelles contre les violences policières

D’après Belga
Mis en ligne samedi 15 mars 2014, 16h07
Selon les organisateurs, « Jeunes Organisés et Combatifs », 80 % des plaintes déposées au Comité P n’aboutissent pas et sont déclarées sans suite.

Quelque 500 personnes, selon la police locale, ont manifesté samedi après-midi dans le centre de Bruxelles contre les violences policières. La manifestation était organisée par « Jeunes Organisés et Combatifs » (JOC) et avait notamment comme but de dénoncer « l’impunité des policiers violents ». Selon les organisateurs, 80 % des plaintes déposées au Comité P n’aboutissent pas et sont déclarées sans suite. Seules 3 % aboutissent à un jugement. La manifestation s’est déroulée dans le calme.
« Cette action s’inscrit dans le cadre de la campagne de la JOC ’Stop Répression’, lancée il y a trois ans contre les violences policières dans la société », a indiqué Arno Leonis, membre de l’organisation. « Nous estimons que dans un contexte de crise, l’Etat utilise les policiers comme des outils au lieu d’apporter une réponse sociale. Les policiers ne sont dès lors plus là pour protéger la population. »
« À travers l’Europe, on constate que les gouvernements utilisent la crise pour justifier toujours plus d’austérité, qui va de pair avec davantage de répression policière pour dissuader les mouvements sociaux de manifester », a-t-il ajouté.

http://www.lesoir.be/494335/article/actualite/regions/bruxelles/2014-03-...

Manifestation contre les violences policières samedi à Bruxelles
Viviane Frisée (st.) avec Belga
Mis en ligne vendredi 14 mars 2014, 13h58
Malgré les témoignages de plus en plus nombreux d’insultes, de violences ou d’harcèlement, la police nie les faits et reste souvent impunie.
ns le cadre de la journée contre les brutalités policières, la JOC (Jeunesse Organisés et Combatifs) organise pour la troisième fois sa campagne Stop-Répression. La manifestation, soutenue par une quarantaine d’organisations aura lieu ce samedi 15 mars à Bruxelles de 15h à 18h.
Son but est de dénoncer les abus et les violences dont la police peut faire preuve et qui restent impunis. Les témoignages rapportent aussi des cas de harcèlements par le biais de vérification d’identité à répétition et de racisme. Pour la JOC, cette impunité conforte les policiers dans l’idée que «  leur violence est légitime  ».
Cette manifestation veut aussi dénoncer le durcissement de la répression, c’est-à-dire «  la généralisation de l’usage de la force par une police de plus en plus militarisée  » qui «  visent à faire taire les mouvements sociaux et leurs revendications  », souligne la JOC dans son communiqué de presse. Quant aux gouvernements, ils ne réagissent pas et «  utilisent la crise pour justifier toujours plus d’austérité  », affirme l’organisation.
Les manifestants se retrouveront place Fontainas, à 15h, longeront ensuite la gare Centrale pour se diriger vers le boulevard Pacheco, la rue Royale et la rue du Congrès pour terminer sur la place Surlet de Chokier.

http://www.lesoir.be/393135/article/actualite/belgique/2014-01-02/violen...

Violences policières: les témoignages ne cessent d’affluerarticle bloqué
Ludivine Ponciau
Mis en ligne jeudi 2 janvier 2014, 13h42
En moyenne quatre récits de bavures sont postés chaque semaine sur le site de dénonciation.
la suite réservée aux abonnés

http://www.rtbf.be/info/regions/detail_les-violences-policieres-restent-...

Les violences policières restent trop souvent impunies, selon la LDH
REGIONS | jeudi 13 mars 2014 à 7h47
C'est ce qu'affirme la Ligue des Droits de l'Homme, qui a fait le bilan de son Observatoire des violences policières. Un site internet avait été lancé il y a un an.
Et en un an, l'Observatoire a validé 88 témoignages de violences policières dans l'espace francophone, pour la plupart commises à Bruxelles. Il ne s'agit pas de refléter fidèlement l'ampleur du phénomène ; mais plutôt de forger un outil d'information des citoyens et de permettre à la Ligue de remplir sa mission d'interpellation.
L'Observatoire n'est pas encore très connu du grand public. Le nombre de témoignages recueillis ne reflète donc qu'une partie des violences perpétrées par la police ces 12 derniers mois. Des faits qui restent trop souvent impunis. "Il y a effectivement une impunité de fait, dénonce Alexis De Swaef (président de la Ligue des Droits de l'Homme). Cette impunité nourrit le fait violent suivant. Il faut y mettre fin."
Et Alexis Deswaef de pointer deux responsables : "Les autorités disciplinaires de la police, d’une part, qui n’interviennent pas assez vite et pas assez énergiquement. Par ailleurs, les poursuites judiciaires : quand on voit comment les parquets sont énergiques et rapides – à juste titre – pour poursuivre des personnes violentes envers la police, pourquoi (lorsqu’il s’agit de violences commises par des policiers) le dossier traîne-t-il, les policiers ne sont pas poursuivis ou les dossiers sont-ils classés sans suite ?"
Des violences qui ne concernent pas que les militants, manifestants et autres activistes, mais Monsieur et Madame Tout-le-Monde. Un bilan somme toute plutôt inquiétant, donc.
Philippe Carlot
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http://www.lesoir.be/491882/article/actualite/belgique/2014-03-12/violen...

«Les violences policières restent impunies», selon la Ligue des Droits de l’Homme
Belga
Mis en ligne mercredi 12 mars 2014, 11h31
C’est l’heure du premier bilan pour l’Observatoire des violences policières, lancé il y a un an par la Ligue des Droit de l’Homme.
La Ligue des Droits de l’Homme (LDH) a dressé mercredi un premier bilan de son Observatoire des violences policières , lancé il y a un an. L’objectif d’un tel outil reste inchangé : dénoncer le comportement des quelques fautifs qui desservent la fonction et, par leurs actes, ancrent le sentiment d’impunité au sein de la population mais aussi de la profession. La Ligue est parvenue récemment à deux constats en Belgique : la criminalisation de la contestation sociale et l’impunité de fait dont jouissent les auteurs de violences policières, rappelle Alexis Deswaef, président de la LDH. Celle-ci, remplissant son «  rôle de vigilance sur des situations qui portent atteinte aux droits fondamentaux  », a décidé de lancer en mars 2013 un site de recueil de témoignages (témoins ou victimes) de violences policières.
Après un an, la LDH, malgré un échantillon assez maigre de 88 témoignages validés, a tenu à dégager quelques tendances. Le site a recueilli une majorité de témoignages de «  monsieur et madame Tout-le-monde  », ce qui inquiète l’association qui voit là une banalisation et une normalisation du phénomène.
Par ailleurs, le traumatisme des victimes ou témoins directs semble non négligeable, 34 % des témoignages datant d’avant 2013. Cette importante part de récits du passé confirme, selon la Ligue, que témoins et victimes n’ont jamais eu l’occasion réelle de s’exprimer et qu’ils ont le sentiment que les actes pour lesquels ils sont concernés sont restés impunis.
Seules 41 % des victimes ont porté plainte
Enfin, seuls 41 % des victimes ont porté plainte. Certaines plaintes sont adressées au Comité P dont la Ligue dénonce son manque d’indépendance. Elle rappelle à ce titre que le Comité des droits de l’Homme de l’ONU a émis des doutes quant à la capacité du Comité P à traiter dans la transparence les plaintes portées à l’encontre des fonctionnaires de police. La LDH se montre satisfaite de ce premier bilan. Le but n’est pas de recenser de façon exhaustive les cas de violences policières en Belgique francophone mais bien de faire réagir les pouvoir publics qui ont tendance à camoufler un tel phénomène, conclut-on à la Ligue.
Outre les victimes et les témoins issus de la société civile, les responsables de l’Observatoire espèrent que les témoignages de policiers eux-mêmes (victimes ou témoins) permettront de dénoncer encore plus efficacement le phénomène. Toujours à propos des rapports entre forces de l’ordre et société civile, le juriste Mathieu Beys, par ailleurs membre de l’Observatoire des violences policières, a présenté mercredi son «  manuel juridique et pratique  » intitulé «  Quels droits face à la police ? ». Il s’agit d’une description des pouvoirs de la police et de leurs limites, explique l’auteur. Le grand public pourra trouver une information «  de manière claire et accessible  » autour de thèmes multiples comme le contrôle d’identité, l’arrestation ou encore les écoutes.
La Ligue a rappelé qu’elle participerait à la manifestation contre les violences policières , organisée samedi à Bruxelles par la Jeunesse ouvrière chrétienne (JOC), dans le cadre de la journée internationale contre les « brutalités policières ».

http://www.lesoir.be/209024/article/actualite/belgique/2013-03-15/un-sit...

Un site pour dénoncer les violences policières
Camille Wernaers
Mis en ligne vendredi 15 mars 2013, 18h14
La Ligue de Droits de l’homme dénonce des cas de violences policières de plus en plus nombreux. Elle lance un site internet pour recueillir les témoignages des cas de violences.
Il y a de plus en plus d’abus de la part des policiers, selon la Ligue des droits de l’Homme. L’actualité nous le rappelait tout récemment avec le cas de Jonathan Jacob, décédé dans une cellule d’un commissariat à Anvers. Pour lutter contre ce phénomène, la Ligue vient de mettre en ligne un observatoire des violences policières. Le site recueillera les témoignages. Il informera également les victimes des procédures à suivre pour porter plainte.
Le principal syndicat policier, le SLPF, dénonce l’initiative, qui entretiendrait un message de méfiance à l’égard de la police.
Le site victime de son succès est momentanément inaccessible.
Ce site s’ouvre en ce jour de lutte internationale contre les violences policières. Près de 1.000 personnes ont manifesté vendredi soir dans le centre de Bruxelles, suite à l’initiative de la Jeunesse Ouvrière Chrétienne (JOC) et dans le cadre de la campagne « Stop Répression ».
Le site de l'Observatoire des violences policières
Le site de la campagne Stop Répression

http://www.jeanmarcmorandini.com/article-318160-deux-agents-de-police-ar...

16/03 - 10:39
Deux agents de police arrêtés pour avoir obligé un SDF à se mettre entièrement nu
Faits-divers|belgique

Selon la libre Belgique , deux agents de la police des chemins de fer de Bruxelles ont été arrêtés vendredi après-midi pour avoir humilié et volé un sans-abri.
Des agents de la police des chemins de fer avaient déjà été reconnus coupable de tels agissements fin février.
Les deux agents arrêtés sont basés à la gare du Midi à Bruxelles.
Fin février, ils auraient obligé un sans-abri à se dénuder avant de s'emparer de son GSM.
Les deux hommes se trouvent désormais à la prison de Forest.
Ils comparaîtront mardi devant la chambre du conseil, qui décidera de leur éventuel maintien en détention.

http://www.lacapitale.be/942674/article/regions/bruxelles/actualite/2014...

Bruxelles: le jugement concernant les quatorze policiers des chemins de fer accusés d'avoir humilié et frappé des SDF sera rendu mercredi
Rédaction en ligne
Le tribunal correctionnel de Bruxelles rendra, mercredi à 14h, son jugement concernant quatorze membres de la police fédérale des chemins de fer. Ces personnes sont prévenues d’avoir usé sans raison de violence à l’égard de sans-abri dans la gare du Midi à Bruxelles, de les avoir humiliés mais aussi d’avoir dressé de faux procès-verbaux de rébellion. Les faits avaient eu lieu entre le 8 janvier et le 26 novembre 2006.
Le ministère public avait estimé la plupart des préventions établies et avait requis des peines de prison, jusqu’à quatre ans pour certains prévenus. Par ailleurs, parmi ceux-ci, l’une avait déjà bénéficié d’une suspension du prononcé et pour un autre, un officier qui était responsable des équipes sur le terrain à la gare du Midi, le procureur avait requis l’acquittement.
Certaines personnes incriminées avaient avoué les faits. Ils avaient expliqué que leur travail à la gare du Midi était particulièrement difficile, qu’ils bénéficiaient de peu de soutien de leur hiérarchie et qu’ils étaient sans cesse confrontés à des faits de vol, d’ivresse, de bagarres,... Bien plus qu’ailleurs à Bruxelles, selon eux.
D’autres avaient déclaré qu’ils n’avaient jamais été impliqués dans les faits de violence injustifiée qu’on leur reproche.
¿Parmi les victimes des faits, un homme avait été frappé par une policière, avec une matraque, dans les testicules, et une très jeune gitane avait eu les cheveux coupés par des policiers qui voulaient ainsi l’humilier, selon l’enquête interne.
Un sans-abri avait été «offert» à une des policières par ses collègues, pour son anniversaire. Elle avait «pu» le battre à loisir, a-t-on aussi entendu au cours du procès.
Les faits avaient été dénoncés par des collègues des prévenus, récemment engagés dans le service, fin 2006.

http://www.rtbf.be/info/societe/detail_violences-policieres-quels-sont-l...

Violences policières: quels sont les droits du citoyen?
SOCIETE | jeudi 13 mars 2014 à 14h14
Les violences policières sont-elles banalisées? Restent-elles trop souvent impunies? Quels sont vos droits de citoyen en cas de contrôle d'identité ou d'arrestation? Quels sont les recours en cas de violence policière? Mathieu Beys, juriste et auteur du manuel "Quels droits face à la police ?", et Nicolas Cressot de l'Observatoire des violences policières ont répondu à vos questions. La Ligue des Droits de l'Homme (LDH) a lancé il y a un an un Observatoire des violences policières (Obspol). L'objectif est de dénoncer le comportement des quelques fautifs qui desservent la fonction et, par leurs actes, ancrent le sentiment d'impunité au sein de la population, mais aussi de la profession. L’Obspol recueille des témoignages (témoins ou victimes) de violences policières.
Y a-t-il une banalisation et une normalisation du phénomène des violences policières ? Ces faits restent-ils trop souvent impunis ? Le Comité P, qui est supposé traiter les plaintes, est-il suffisamment indépendant ? Son action est-elle assez transparente ? Un certain "esprit de corps" n’empêche-t-il pas les policiers de dénoncer des violences commises par leurs collègues ? Quels sont les droits des citoyens face à la police en cas de contrôle, d’arrestation, ou en matière d’écoute ?
Nicolas Cressot de l'Obspol, ainsi que Mathieu Beys, juriste et auteur du manuel "Quels droits face à la police ?", qui vient de paraître, ont expliqué leur démarche et ont répondu à vos questions. Relisez le chat ci-dessous.

http://www.rtl.be/info/votreregion/bruxelles/1075480/violences-policiere...

Violences policières à Molenbeek: une femme affirme avoir été humiliée au commissariat
12 Mars 2014 12h39
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Une femme a porté plainte concernant des violences policières d'agents de Molenbeek exercées à son encontre le 4 mars dernier, a indiqué la zone de police Ouest (Molenbeek, Ganshoren, Berchem-Sainte-Agathe, Jette, Koekelberg), confirmant ainsi une information parue dans La Capitale. Elle a été entendue ainsi que les policiers concernés. Les images des caméras de surveillance au sein du commissariat ont été saisies et seront exploitées.
 
Arrêtée pour trouble de l'ordre public
Le 4 mars dernier, trois patrouilles du service interventions se sont présentées au domicile molenbeekois d'une famille, afin d'y arrêter le fils de 17 ans recherché dans le cadre d'un dossier en flagrant délit. Ce dernier est bien connu des services de police pour plusieurs faits graves. A la vue des policiers, la sœur du suspect est sortie sur la voie publique, s'est mise à crier et a claqué la porte au nez des policiers qui, dans le cadre du flagrant délit, avaient un mandat pour rentrer dans la maison. Les policiers l'ont arrêtée administrativement pour trouble à l'ordre public. Elle a été écrouée jusqu'à 7h30 le lendemain matin et affirme avoir été maltraitée et humiliée par plusieurs policiers lors de la fouille préalable à son écrou.
 
Enquête ouverte
Le parquet de Bruxelles a ouvert une enquête judiciaire et la zone de police a également ouvert un dossier disciplinaire en interne. Des appels à manifester contre cette bavure potentielle circulent via sms et sur les réseaux sociaux. La commune décidera si une éventuelle manifestation sera autorisée.

http://www.7sur7.be/7s7/fr/3007/Bruxelles/article/detail/1810352/2014/03...

Trois policiers suspendus suite aux violences policières à Molenbeek

Par: rédaction
12/03/14 - 15h37  Source: Belga Le commissariat de police de Molenbeek © belga.
Trois policiers ont été temporairement suspendus par mesure d'ordre en attendant les résultats des enquêtes menées sur base d'une plainte introduite par une femme affirmant avoir été victime de violences policières le 4 mars dernier, à Molenbeek. Le collège de police en sera avisé officiellement lors de sa séance prévue jeudi, a indiqué mercredi la zone de police Ouest (Molenbeek, Ganshoren, Bercheme-Sainte-Agathe, Jette, Koekelberg).
Le 4 mars dernier, trois patrouilles du service "Intervention" se sont présentées au domicile molenbeekois d'une famille afin d'y arrêter le fils de 17 ans recherché dans le cadre d'un dossier en flagrant délit. Ce dernier est bien connu des services de police pour plusieurs faits graves.

A la vue des policiers, la soeur du suspect est sortie sur la voie publique, s'est mise à crier et a claqué la porte au nez des policiers qui, dans le cadre du flagrant délit, avaient un mandat pour rentrer dans la maison. Les policiers l'ont arrêtée administrativement pour trouble à l'ordre public. Elle a été écrouée jusqu'à 07h30 le lendemain matin et affirme avoir été maltraitée et humiliée par plusieurs policiers lors de la fouille préalable à son écrou.

Le parquet de Bruxelles a ouvert une enquête judiciaire et la zone de police a également ouvert un dossier disciplinaire en interne.

Des appels à manifester contre cette bavure potentielle circulent via sms et sur les réseaux sociaux. La commune décidera si une éventuelle manifestation sera autorisée.

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