
Les six manifestants arrêtés lors des manifestations déclarées illégales du sommet du G7 entendent faire valoir leurs points en mars lors d’un procès de cinq jours.
Arrêtés au début juin et soumis à des conditions de remise en liberté assez strictes depuis, les manifestants accusés au criminel étaient de retour en cour mardi. Après de longues discussions entre avocats, les parties se sont entendues pour tenir un procès de cinq jours à compter du 11 mars 2019.