Agression sur un homme de 65 ans et intimidation dune femme de 86 ans,

01 Octobre 2017

Dimanche le 1er octobre 2017, à mon levé à 8 heures ma mère me signale que des objets sont laissés sans surveillance dans le débarcadère d’autobus de quatre (4) écoles localisées près de la rue Saint-Pierre Sud à Joliette.
À 13 heures, ces objets sont toujours dans le débarcadère d’autobus qui dessert les quatre (4) écoles primaires et maternelle qui accueille plus de 400 étudiants. Attendu que dans les semaines passées deux (2) enquêteurs afin de s’informer si nous avions vu des rôdeurs allumer un feu entre deux (2) maisons du voisinage, je décide de signaler aux policiers, au téléphone 450-759-5222, les colis suspects laissés sans surveillance pour plus de cinq (5) heures. Lorsque la personne répond au téléphone je me m’identifie et lui donne mon adresse et lui fait mention de la présence de colis suspects dans le stationnement des autobus d’écolier près de la rue Saint-Pierre (Sud) et je pars prendre ma marche avec mon chien.
Au retour de ma marche à 14 heures 15, je constate que rien n’est déplacé. Je vais un second appel de nouveau je me m’identifie et lui donne mon adresse et lui fait mention de la présence de colis suspects dans le stationnement des autobus d’écolier près de la rue Saint-Pierre (Sud). Je dis à la personne au téléphone que les policiers ne font pas leur «job» et insiste à plusieurs sur le fait qu’une intervention faite ce dimanche que d’attendre le lundi pour intervenir car il aura plus de 400 étudiants (enfants de 3 à 13 ans) et travailleurs. Finalement, je lui dis que si dans 20 minutes aucun policier se présentait sur les lieux pour procéder à la vérification des colis et à l’enlèvement de ce lieu public que je contactais les médias. La personne finit par me raccrocher la ligne au nez.
Avions-nous raison de craindre pour la sécurité du public et principalement la sécurité des enfants et du personnel fréquentant ces écoles?
Je vous mentionne 2 articles en date du 2 et 4 octobre 2017. Le premier traite du confinement des élèves de l’école secondaire Saint-Rémi où les élèves ont été confinés dans leur classe et où on voit sur la photo des parents inquiets.
Le second parle de deux (2) colis suspects au centre-ville de Trois-Rivières où les policiers de Trois-Rivières ont fermé le centre-ville et les artificiers de la SQ ont été dépêchés sur les lieux. Le porte-parole de la police de Trois-Rivières mentionne qui n’avaient pas à prendre cette menace à la légère. Ça a peut-être perturbé le centre-ville mais il faut sécuriser la population.
Un des sacs contenaient des outils et de la robinetterie appartenant à un honnête travailleur qui a dû s’absenter et dans l’autre une imprimante et un câble que les policiers ont enlevé du Centre d’achat et non laissé sur place en se disant que le propriétaire va venir le récupérer. Dans les commentaires une citoyenne dit qu’il y a cinq (5) ans qu’elle n’aurait pas prise la menace au sérieux.
À 14 heures 45, ma mère me dit qu’un policier est dans la cours d’école et met le sac dans son véhicule. Le matricule 13265 de l’unité 157 se présente à ma demeure.
En me levant de ma chaise je dis à ma mère qu’il vient nous aviser qu’il a vérifié les colis et ce qui reste sur les lieux ne présente pas de danger pour les enfants.
J’ouvre la porte sans qu’il se présente et me dise l’objet de sa présence. Il me dit en mettant son index sous le nez « tu dis que je ne fais pas ma job, tu viens voir avec moi ce qu’il a dans le sac l’autre côté de la rue», je refuse et lui dit que comme citoyen je n’ai rien à voir avec la vérification du contenu du sac, c’est sa job de nous protéger. Il me le demande à 2 reprises et à 2 reprises je refuse. Mais ce sac n’est plus de l’autre côté de la rue, ma mère l’a vu mettre le sac dans son véhicule qui est stationné dans l’entrée de notre maison.
Lorsque j’ouvre la porte je suis à une distance de 33 pouces de lui, la distance la plus près que je me suis trouvé de lui par la suite je me suis jamais retrouvé à moins de 5 pieds de ce dernier. Alors, ses prochains mots sont de m’ordonner d’aller à l’hôpital avec lui pour vérifier ma médication les mots utilisés sont «Tu viens avec moi à l’hôpital faire vérifier ta médication». Je refuse. Il continue d’insister plusieurs reprises. Je me dis il veut savoir si je suis drogué. Je vais dans le portique entre mon bureau et le salon. Je dis à ma mère de prendre note que j’allais à l’hôpital avec le policier afin de vérifier ma médication. Ma mère me dit «Quoi» je lui répète une seconde fois et me confirme qu’elle a bien compris. (Donc, j’accepte de suivre le policier de mon plein gré). À ce moment Le matricule 13265 de l’unité 157 prend connaissance que nous n’étions pas seuls et tout ce qui a été dit depuis son arrivée a été entendu et vu par une troisième personne.
Alors que j’étais dos à lui et que j’allais prendre ma chemise sur le dossier de la chaise pour la mettre et serrer ma ceinture de pantalon. Il pénètre dans la maison sur une distance de 10 pieds me saisit par le bras et m’entraîne hors de la maison sur le balcon,
Sur le balcon, il tient le bras par lequel il m’a saisi derrière le dos et tente de ramener mon autre bras derrière le dos afin de me mettre les menottes. Durant une période de 15 minutes il m’a tordu le bras, m’a étouffé jusqu’au bord que je perdre connaissance. Je me sentais faiblir. Oui, à partir de ce moment j’ai crié en disant que je n’étais pas un criminel et qu’il ne mettrait les menottes. Durant tout ce temps je n’ai jamais agressé le policier mais résisté en refusant de joindre 2 mains ensemble pour me mettre les menottes.
Ma mère est intervenue verbalement lui expliquant que nous étions nerveux suite à la tentative de feu dont la SQ a enquêté et que n’avions signalé la présence de colis suspects. Mais ce dernier l’a menacé, une dame de 85 ans. Le tout se déroule sans que le policier se soit présenté, mais dit la raison de sa présence, que je suis en état d’arrestation, etc.
Finalement, il a relâché un peu son emprise et a demandé de l’aide à ses confrères. 4 auto-patrouilles avec sirène avec 8 policiers supplémentaires ont fermé la rue Saint-Pierre Sud non pas à cause des colis suspects mais pour arrêter celui qui a signalé la présence des colis suspect en faisant son devoir de bon citoyen et en conformité avec son Code de déontologie des ingénieurs qui l’oblige à signaler tout danger pour le public.
Un autre policier s’est présenté pour me mettre les menottes. Ils m’ont embarqué dans une auto-patrouille les culottes aux chevilles et m’ont amené au poste de police de la rue Richard à Joliette. Dans l’auto, ils m’ont dit de me calmer et menacé de me donner des tickets. Je leur ai dit qu’ils pouvaient me donner des tickets que j’avais de l’argent pour les payer.
Rendu au poste de police, j’ai été mis dans une salle et m’ont enlevé les menottes.

En revenant dans la salle matricule 13265 de l’unité 157 en la présence de son confrère m’a remis 2 constats d’infraction pour un montant total de 542$ et m’ont libéré.
Avant de partir, je lui ai demandé de s’identifier, son confrère m’a répondu que le nom apparaissait sur les constats et que si je ne partais pas il me mettrait en prison. Je partais et je me suis retourné et je lui ai dit : « Nous n’allons pas à l’hôpital faire vérifier ma médication? ». Encore un fois, son confrère m’a fourni la même réponse. Attendu que je n’avais pas de chemise j’ai demandé aux policiers de me reconduire à la maison mais son confrère m’a répondu tu prends un taxi ou tu retournes à pied. Vu que mon portefeuille était dans ma chemise j’ai dû retourner à pied à 15 degré Celsius sur une distance de 1 kilomètre.
Finalement, le policier c’est présenté à la maison dans le but de me faire sortir de la maison et de m’agresser physiquement.
Retour à la maison, Jacques Tessier prend des photos des blessures qui m’ont été occasionnées.
Je constate que le sac n’est plus là.
Le 5 gallon a été enlevé vers 13 heures le lundi possiblement par le concierge.
La bicyclette vers 16 heures le lundi et pas nécessairement par son propriétaire.
Le soir même je porte plainte en déontologie policière.
Le 5 octobre 2017 je plaide non coupable aux 2 constats d’infraction et tel que conseiller par votre regroupement je demande le dépôt de la preuve.
Le 17 octobre demande d’informations additionnel du bureau du Commissaire en déontologie.
Le 27 novembre 2017, je reçois ma date de comparution en cours municipale avec le dépôt de la preuve qui consiste au rapport du policier sur les évènements.
Ce rapport est faux à 98% seules les heures de mes 2 appels sont véridiques tout le reste des faits mentionnés c’est le policier qui l’a fait.
Voici la liste des méfaits que j’aurais réalisés :
• Dans son rapport, il dit qu’avant même qui puisse prendre la parole, qu’il se fait ouvrir la porte que je suis très agressif et volubile et que je hurle «Vous venez m’écœurer jusqu’ici gang de chien!» C’EST FAUX. Jamais en 64 ans presque 65 ans je n’ai utilisé un tel propos insultant envers une personne et surtout contre un policier j’ai trop de respect pour ce qui représente dans notre société du moins jusqu’à présent car ce respect pourrait bien diminuer.
• Il dit qu’il constate que l’homme est fortement intoxiqué par l’alcool. C’EST FAUX. Oui, j’ai pris de l’alcool et cette consommation à un verre de vin débuté à 12 heures au dîner que je terminais à son arrivé après avoir fait une marche avec mon chien entre 13 heures et 14 heures 15. Je crois que mon taux d’intoxication par l’alcool à 220 livres et 5’-9’’ n’était pas très haut.
• Tout au long de la discussion, l’homme demeure agressif et mentionne que je ne fais pas mon travail, que ça n’a aucun bon sens qu’on ne fasse rien, que tout ça allait se retrouver aux nouvelles. C’EST FAUX, en aucun temps je n’ai prononcé ces paroles au policier. Toutefois, celles-ci ont été dites lors de mon second appel à la personne qui a pris l’appel.
• Je demande à plusieurs reprises qu’il se calme. L’homme continue d’être agressif et de crier. Il me pointe du doigt sans cesse et s’approche de plus en plus. J’ai de plus en plus de signes précurseurs d’assauts. C’EST FAUX, depuis l’arrivée du policier je n’ai jamais été agressif depuis son arrivée et contrairement à ses dires je me suis éloigné de lui ton au long de son intervention, je n’ai jamais été à moins de 33 pouces ½ qui est la largeur de la porte lorsque je l’ai ouverte et par la suite entre 5 et 10 pieds la distance qu’il a parcouru pour le saisir e bras et me sortir du domicile. Et, ce contrairement au policier qui m’a pointé du doigt tout au long de son intervention si je l’ai pointé c’est de façon non intentionnelle.
• Il dit qu’il me demande si je prends de la médication. C’EST FAUX. Dans un premier temps il m’ordonne d’aller avec lui à l’hôpital faire vérifier ma médication ce que j’ai refusé à plusieurs reprises. Suite aux ordres qu’il me donnait, entre celles-ci, il m’a demandé si je prenais des médicaments contrairement à ce qu’il mentionne j’ai dit oui des médicaments contre le diabète.
• Il dit que je hurle que je n’irai pas à l’hôpital. C’EST FAUX. J’avise ma mère de prendre note que je fais à l’hôpital avec le policier faire vérifier ma médication. Surprise elle me dit «Quoi?» je lui réponds «Je vais à l’hôpital avec le policier à l’hôpital faire vérifier ma médication». Prenez en note que ceci est une acceptation pour suivre le policier pour quel raison vouloir me mettre les menottes plus tard et encore là je n’ai eu un comportement agressif envers le policier depuis son arrivée.
• Il dit que je le charge en me pointant du doigt et me donne deux (2) coups sur la poitrine avec son doigt. C’EST FAUX. Après avoir avisé ma mère que j’acceptais de le suivre à l’hôpital, je me suis rendu à ma chaise d’ordinateur pour mettre ma chemise et serré ma ceinture. Alors que je suis dos au policier, celui-ci pénètre dans la maison sur une distance d’au moins 10 pieds pour me saisir par le bras et me sortir hors du domicile où par la suite il en a profité pour m’agresser durant 15 minutes en me tordant un bras et en m’étouffant. Jamais comme il indique que je l’ai chargé, lui saute dessus pour lui faire perdre son équilibre. C’EST FAUX. Il dit qu’il a du faire une frappe puissante de la main, c’est sûrement pour ça que j’ai ne dent qui branle présentement et que je devrais faire arracher dans un avenir proche.
• Dans vos conclusion du rejet de ma plainte vous indiquer que j’ai résisté au policier, je tiens bien à spécifier que cette résistance est une résistance dans le sens à ne pas céder à la force utilisée pour le policier afin de me mettre les menottes et jamais au grand jamais je n’ai eu l’intention et posé des gestes laissant croire au policier que j’allais porter un assaut contre lui. Et, que jamais je n’ai utilisé la résistance dans le sens d’opposer la force contre la force comme vous sembler le supposer dans le raisons du refus de ma plainte. Que les blessures que j’ai subi et les inconvénients que j’ai subis n’auraient jamais dus survenir si les policiers auraient fait leur travail initialement et ce même avant mon premier appel selon les dires du policier en enlevant le sac lors de sa première intervention comme il l’a fait à 15 heures le 1er octobre 2017. De plus, nous ne voyons pas la raison de sa présence à la maison à moins de nous aviser qu’il avait vérifié les colis, nous n’avons pas demandé à savoir ce que le sac contenait.

Le 13 décembre 2017 acquitté à la cours municipale des 2 constats d’infraction émis par le policier.
Le 31 janvier 2018, rejet de ma plainte en déontologie sur la base du rapport opérationnel du policier avec possibilité d’aller en appel. Ce rapport est bourré de fausseté comme le fait j’ai appelé le 911 que je n’ai jamais appelé.
Ajout au dossier les 2 acquittements en cours municipale, d’une déclaration de témoin lequel n’a jamais été contacté pour donner sa version des faits et une lettre réfutant tous les dires du policier dans son rapport opérationnel.
Le 6 février 2018, la plainte est acceptée. Et, m’oblige à une séance de conciliation que j’avais refusée lors de la demande d’informations supplémentaires.

Le 16 avril 2018, rencontre de conciliation au poste de police de Joliette, en plus des mensonges déjà écrits d’autres mensonges ont été ajoutés par le policier. Le Conciliateur insiste pour me faire signer un papier sans aucune accusation contre le policier. Je refuse,

Le 16 mai 2018, le Commissaire clos le dossier sans sanction contre le policier. Une farce la conciliation. La version de 2 honnêtes citoyens ne vaut pas celle d’un policier menteur.

Corp policier (SPVM, SQ, GRC, agent de la STM, etc): 

Matricule du policier (séparer les numéros par des VIRGULES s'il y en a plusieurs):