Témoignages d'abus policiers

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Menottée pendant 20 minutes pour un feu rouge à pied

21 Novembre 2020

Samedi 21 novembre autour de 16h, coin Wellington et 5e Avenue, Verdun.

En sortant d'un commerce, je traverse un feu rouge où il n'y a aucune auto en vue jusqu'au coin de rue suivant.

Vague coup de sirène d’auto-patrouille. Je n’y prête attention qu’à moitié et j’entre dans un commerce de type « dollarama ». Les policiers me suivent jusqu’à l’intérieur.

Ils m’interpellent de l’avant d’une rangée. Je les attends vers le fond de la rangée. Le plus grand des deux s’approche à environ 2 pieds de moi. Technique d’intimidation. Je lui demande de reculer, 2 fois, à cause de la pandémie. Il ne bouge pas. Alors je dis: "Je vais aller au fond de la rangée et remonter la rangée suivante jusqu'à l’avant du magasin, où on aura plus d’espace pour parler." Il me suit, l’autre attend à l’avant du magasin.

Moi : "Il n’y avait aucun véhicule à l’intersection."
Le policier : "La loi c’est la loi."
Moi: "Vous êtes en mode Collecte de fonds pour vos bonis de Noël?"

Arrivés à l'avant, il me demande une pièce d’identité. Je prends toutes mes cartes et lui tends ma CAM. À deux reprises, il vient pour la prendre et je retire ma main en lui demandant de ne pas la toucher. Je lui dis que je ne veux pas qu’il la touche et que j’aimerais qu’il reste à 2 mètres de moi. Je n’ai évidemment aucune intention de fuir ou de résister, mais que je ne veux pas être touchée : on est en pleine 2e vague de pandémie et Montréal vient de passer en alerte maximale.

Pendant ce temps l’autre policier passe derrière moi et m’arrache le reste des cartes (crédit, banque, etc.) que je tiens dans l'autre main. C'est une provocation tout à fait gratuite : jusque là, je coopérais en tentant de respecter les directives des autorités sanitaires.

Je lève le ton et lui dis de me redonner mes cartes, mais le premier m’immobilise par derrière, et demande à l’autre les menottes. Je comprends que j'ai affaire à des juniors qui veulent jouer à Rambo. J'abandonne tout dialogue.

Et vlan, je me retrouve menottée dans le magasin pour avoir traversé un feu rouge à pied à une intersection déserte. Je sors du commerce menottée et escortée comme une voleuse!!! Humiliation totale dans mon propre quartier, devant tout le monde.

Ils me fouillent sommairement (2 hommes, aucune policière), regardent dans ma sacoche. Déposent ma sacoche ouverte à côté de ma pile de cartes sur la valise de l’auto. Je n’offre aucune résistance. Ils m'enferment menottée à l'arrière du véhicule.

Ils mettent une vingtaine de minutes à rédiger leur contravention pendant que je suis enfermée à l’arrière de l’auto-patrouille, les fenêtres fermées, sur une banquette rigide, les deux mains derrière le dos, avec deux policiers qui travaillent dans la rue et qui sont parmi les métiers les plus exposés à la covid. Est-ce que l'arrière a été désinfecté récemment? Comme fumeuse de 61 ans, je commence à faire partie de la population vulnérable. Je suis extrêmement inquiète. Je commence à avoir mal au dos.

J’attends
Enfin, ils me lisent le contenu des contraventions, sans me les remettre parce que leur imprimante ne fonctionne pas : une d'une cinquantaine de dollars pour le feu rouge, et une autre d'environ 480$ pour « entrave au travail d’un policier ». Ils m'ont dit que j'avais 30 jours pour contester et que je recevrais la contravention par la poste. Si l’imprimante ne fonctionnait pas, pourquoi m’avoir gardée pendant 20 minutes menottée dans l’auto???

La semaine suivante, je passe une fois au poste et j'échange plusieurs courriels, avec le maire de l'Arrondissement et deux personnes du poste 16 sans avoir de réponses à mes questions.

J'appelle au poste le jeudi 3 décembre: les policiers sont dans leur semaine de congé et il semble qu'ils ne l'ont pas encore envoyée. Le policier me rappelle le 8 décembre et me dit qu’il n’a pas encore envoyé la contravention pour cause de « délais administratifs ».

15 décembre, 24 jours plus tard, je n'ai toujours pas reçu la contravention que j’ai 30 jours pour contester.

Mes observations et article du code de déontologie policière correspondant:
• Manque de jugement quant à la mission d’un policier dans la société.
• Tentative d'intimidation malgré les consignes sanitaires. Le policier est resté trop près de moi dans le but de m'intimider. (Art. 6.2)
• Usage disproportionné de la force: immobilisation et recours aux menottes (Art. 6.1), alors que je ne tentais pas de fuir et que je montrais une carte d’identitl
• Fouille illégale, aucune policière sur place (Art. 10.4), seulement 2 hommes.
• Accusation portée sciemment sans justification: amende pour "entrave au travail d'un policier » (Art. 6.3)
• Négligence, insouciance à l'égard de ma santé (Art. 10.2) alors que Montréal vient de passer en zone rouge, en alerte maximale.

Ma crainte:
Même si j’arrive à contester les deux contraventions, que faire contre deux policiers s’ils mentent, eux qui travaillent ensemble et qui ont beaucoup de ressources professionnelles à disposition pour monter leur dossier? D’après moi, la situation était tellement absurde qu’ils ne pourront pas expliquer les faits tels qu’ils se sont déroulés en regardant un juge dans les yeux.

Policiers impliqués :
Agent Gaudet : matricule 7888,
agent Massicotte-Haran : matricule 7625

Ville où l'événement s'est produit: 

Corp policier (SPVM, SQ, GRC, agent de la STM, etc): 

Matricule du policier (séparer les numéros par des VIRGULES s'il y en a plusieurs): 

Nom du policiers (séparer par des VIRGULES s'il y en a plusieurs): 

tiket sans infraction

10 Septembre 2020

policier de st gabriel de brandon on marrete supposement pour vitesse ce qui nait pas vrais jai demander a voir son radard il ma donner plutot un tiket pour mais pneus user 314$ jai toujours des ticket saNS INFRACTION JAI PLUS DE 2000$TICKET A PAYER SANS INFRACTION VILLE DE ST GABRIEL JE VIENT DE DÉMÉNAGER ICI DÉJA 314 DOLLARD DE TICKET SANS INFRACTION APART LA VILLE DE ST JULIENNE ET DE RADOWN EUX AUSSI MON JAMAIS LACHER TICKET SANS INFRACTION ET SURTOUT DE LA BELLE PROVOCATION JE NE SAIS PLUS QUOIS IMAGINER VOUS JAI 65 ANS LA POLICE EST LA PIRE MAFIA GANG DE RUE 12 ANNER HARCELER TICKET NON MÉRITER ATTEINTE A MA LIBERTER ET MA JOIE DE VIVRE JE SUIS ÉQUIPER DE CAMÉRTAS DANS MON TRUCK JE FILM AVANT ET ARRIERE JE VAIS PUBLIER NOTRE MEILLEURE ARME CEST DES PREUVE CAMÉRAS

SQ : Brutalité non justifié à Shawinigan,Qc

08 Juin 2020

08 Juin 2020
Le 08 juin 2020, à Shawinigan, QC
Notre famille 2 adultes 2 enfants victime harcèlement depuis …12 ans
....par la SQ
De Shawinigan, QC profilage, (intimidation physique et psychologique) - nous vivons
ce qu’on appel sur le net du GangStalking, ordi pirater - téléphone - vol et désordre
dans notre domicile , sans briser de porte ou vitre ,suivie dans nos déplacement par
des voitures normal qui nous coupe nous freine aux visage sent raison , rencontres le
voisinages et nous salit pour crée des conflits qui n’en finissent plus ...
Victime d’appareil a micro-onde de son de basse fréquences. Non létal
((psychotoniques) cause de brulure, enflure sur le corps, de fatigue de maux de tête
de vomissement, troubles de concentration manque de sommeil ETC...
Notre famille demande de l’aide. CLSC a la Députée a des
Avocat et autres policier (croyant qu’il sont mieux) et autres organismes publics ...
- - - Notre famille se faisons traiter de fou qu’il n’y a rien de vrai et pourtant les
preuves ont les A. PERSONNE ne veut toucher à ce genre de dossier.
- - - Beaucoup de département ignorant et d’autres corrompues
Après la 4x une demande d’aide a ma députer en un an, je me fais violenter a la
sortie de mon véhicule dans le stationnement de la députer ... envoyer de force a l
hôpital sur 1 P38, pour cacher les marquent sur mon coup mon corps que je ne
puisse pas les montrer fraichement faite ... 3h avant ... policier pas de nom pas de
badge ..y a plus dans l’histoire ...
Le 16 aout 2020 je reçois un avis de comparaitre pour Sept 2020, du a cet
incident et ils veulent me faire porter le blâme.
J’AI Besoin d’AIDE svp - de SOUTIEN svp - d Avocat svp - psychologue choc
posttraumatique familial. Nous voulons ravoir une vie ((Normal)) svp. de l’AIDE.
- - - Dieu j'ai fait mon possible, un peu d’aide ferai du Bien.
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Merci à ceux qui ont créé COBP. J'ai besoin d’espoir et j'en retrouve sur votre site
web. Attend des nouvelles de vous. svp - - - Amicalement D'une Famille a bout de souffle et de ressource ...

Ville où l'événement s'est produit: 

Corp policier (SPVM, SQ, GRC, agent de la STM, etc): 

Arrestation Illégale

07 Décembre 2019

L’événement est arrivé dans la nuit du vendredi 6 décembre au samedi 7 décembre 2019 devant l’établissement Bar le Dallas à Laval (317 Boulevard Cartier O, Laval, QC H7N 2J3). Le constat d’infraction en lien avec la situation est le 0 415 288 762.
Voici la description des faits.
L’événement a débuté alors que les deux policiers sortaient du bar, après avoir interpellé une dame à l’intérieur. Je revenais du centre d'escalade blok shop et était au bar depuis environs 2 heures. Je me suis aller rejoindre des amis au bar Dallas et j'y ai bu 2 bière. J’étais à l’extérieur devant l’établissement, sur la térasse en asphalte au pied des marche, en fumant une cigarette. Monsieur Daniel Karl Angelozzi, était également présent sur la scène en train de fumer une cigarette près de l'entré. En discutant avec moi et d’autres gens à l’extérieur. Catherine Whitehead était également présente appuyée sur la rampe en métale. Daniel Karl blaguait de facon innaproprié, je lui ai suggéré d'arrêter. Les policiers l'on interpellé . Lorsqu'un des deux agents présent l'a agrippé par le bras et tiré vers le véhicule stationné sur le coté du bar. j'ai alors demandé ce qui se passait. Le deuxième policier, qui ne tenait pas Daniel Karl, s'est ensuite dirigé vers moi en me disant : « Toi aussi viens-t'en!». J'ai alors demandé pour quelle raison. Sans me répondre, il me demande ensuite de m'identifier tout en s'approchant plus près. Sans refuser de m'identifier, je lui demande encore une fois pour quelle raison. Je ne comprend pas le motif du policier, je n'était en aucun cas aggressif ou agité et me trouvais sur la propriété privée du bar. Sans aucune réponse de sa part et sans me laisser le temps de lui donner mon nom il me saisit par le bras et dit: « Tu refuse de t'identifier!». Je lui répond que je n'ai jamais refuser de m'identifier c'est alors qu' Il aggripe mon deuxième bras, me secou et commence à me diriger vers la rue et le terre-plein en disant: « Tu résiste, arrête de résister!.». Pendant tout ce temps, je leurs demande la raison de cette intervention physique et leurs répètes que je ne résiste pas en tentant de garder mes deux mains en l'air en signe de non agressivité. Je n'ai jamais recus d'instruction claire de la part du policier et était sous le choc d'être aggripé si brusquement sans raison apparente.

Il ne m’avait pas donné de motif pour cette requête d'identification, ne m’avait pas avisé préalablement que j’étais en état d’arrestation ou pour quelle raison, j’étais donc tendu et restais droit debout les mains en l'air en répétant que je ne résistait pas. Il m'aggripait les deux bras tout en me secouant. Il me poussait vers la rue; j’ai tenté de rester sur place car il me semblait dangereux d'avoir une altercation au beau milieux de la rue, sans toutefois être agressif ou violent, leur demandant à répétition qu'est-ce qui motivait leurs aggressivités envers ma personne. Les policiers n’ont pas répondu à mes questions et tentait de me basculer sans aucun dialogue de leurs part exepté: « Arrête de résister!». Je n’ai jamais refusé de m’identifier, je ne faisais que demander les raisons qui justifiaient cette intervention physique tout en essayant de garder mon équilibre.
Lorsque nous sommes arrivés au terre-plein au milieu de la rue, les policiers m’ont brusquement jeté par terre et m’ont immobilisé en clef de bras. A ce moment je ne bougeais plus et continuait de leurs demander calmement pourquoi ils m'étranglaient puisque je n'avait posé aucun geste aggressif envers leurs personnes. Pendant qu’un des agents m’étranglait, j’ai eu une vive sensation de brulure aux yeux, j’ai pensé que je recevais du poivre de cayenne dans le visage. J’ai donc essayé de couvrir mes yeux et protéger mon visage avec mes mains. J'ai alors demandé à l’agent pourquoi il m’aspergeait, et ce dernier m’a répondu « compte toi chanceux, la cannette est vide. ». J’ai toutefois eu tous les symptômes associés à une exposition au poivre de cayenne (brulures au niveau du visage et des main, irritation des vois respiratoires et des yeux). À ce moment, alors que j’étais par terre et maitrisé par l’un des agents, j'ai senti des coups au niveaux des côtes. J'ai alors tenté de me protégé la tête avec mon bras. J'ai recus un autre coup au niveau du bras puis un quatrième au niveau de la cuisse. Je me sentais étouffé par l'encolure et avais de la difficulté à respirer du a l'irritation de mes voies respiratoire. Ma vision était brouillé du a des larmoiment et mon nez coulait abondament. Lorsque les policier me relevaient, j'ai donc cracher au sol pour libéré le mucus accumulé et tenté de reprendre mon souffle. Je sentais des brulures aux yeux, au nez, la bouche et sur mon visage qui on persisté. Lorsque les policiers m’ont mis dans leur véhicule, ils m’ont mis un sac sur la tête en justifiant cet acte par le fait qu’ils n’avaient pas de grillage dans le véhicule. Pourtant il y avait environs 5 véhicules de police présent sur place. J'avais de la difficulté à respirer, l'irritation du poivre de cayenne m'étouffait car il ne pouvait se dissipé du au sac. Lorsque je signala au policier que j'avais des difficultés a respirer il me dit que je peux respirer autravers du sac. Je leurs répond alors que c'était a cause du poivre de cayenne qui restait pris dans le sac. Cette fois-ci fois on me répondit que « la cannette était défectueuse. ».
Lorsque nous avons quitté , au lieu de m’apporter au poste de police, ils ont stationné le véhicule et discutaient pour décider du motif de l’arrestation, de quelle contravention ils allaient me donner et de ce qu’ils allaient faire avec moi, en disant que mon domicile était trop loin. Je leur demandais leurs matricules, et ils me répondaient que j’allais les voir sur le constat d’infraction. Lorsque nous avons repris la route, durant le trajet, le policier tentait de me donner des coups de matraque car je leur demandais pourquoi ils m’avaient arrêté; le conducteur a notamment fait une blague à mon insu en disant « Labarre, arrête de parler tu vas manger des coups de barre ». L’autre policier, m’a indiqué que le motif de mon arrestation état ivresse sur la voie publique. Je leur expliquais que je ne comprenais pas, que j’étais à un bar. Je continuais de leurs demander si ils trouvait nécessaire de m'avoir maltraité de la sorte ce a quoi un agent m'a répondu que j'avais tenté de frapper son bras et que j'était chanceux de ne pas être accuser de voie de fait envers un policier. J'étais estomaqué par cette affirmation et rétorqua qu'a aucun moment j'avais tenté de le frapper et n'était en aucun cas agressif envers sa personne. Continuant a questionné le motif de leurs intervention, l’agent me répond que j’étais en dehors du bar. J’ai répondu que je fumais sur la terrace du bar. L’agent m’a répondu « tu avais juste à ne pas fumer ».

Les agents m’ont finalement reconduit au domicile de mes parents. Lorsqu'ils ont enfin retirer le sac de sur ma tête un des agent était dégouté par mon apparence (yeux enflé et larmoyant et muccus coulant de mon nez). Je ne voyait presque rien mais je continuais de les questionner sur la motivation de leurs actions. J'était articulé et en possession de mes moyens mais ne recu aucune réponse exepté: « T'as rien à gagner, veux tu qu'on aille cogné chez vous? ». Sachant que je n'avais rien a cacher je les ai invité a le faire. Les policiers on quitter me laissant dans les marchent menant au domicile familliale, je suis donc rentré. J'ai alors tenté de laver mon visage avec de l'eau froide car les sensations de brulures persistaient et j'avais des trouble de visions (paupières enflées). Le contact de l'eau sur ma peau a emplifier la sensation de brulure. J'ai ensuite appliquer du lait sur mon visage ce qui a appaiser les brulures. Lorsque j'ai tenté de me doucher par la suite les brûlures étaient intense au niveau des mains et du visage.
Durant tout l’incident, j’ai répété à de nombreuses reprises aux policiers que je ne résistais pas à l’arrestation. De nombreux témoins étaient dehors durant toute la scène et ne cessaient de demander aux policiers pourquoi ils m’arrêtaient, et surtout, pourquoi ils m’attaquaient avec autant de violence. Personne n'a vu ni su pourquoi le policier m'a interpelé aussi brusquement et sans motif apparent. J’étais devant un bar, mais je n’étais en aucun cas en état d’ivresse avancé, ni dérangeant pour quiconque. J'était cohérent dans mes discusions et en pleine possession de mes moyens. De plus, l’ensemble des gens avec qui je discutait avaient consommé de l’alcool. Il semblerait toutefois que les policiers m’avaient ciblé pour leur intervention. La soirée tirait à sa fin, j’étais avec mes amis dehors en train de fumer, nous nous préparions à partir chez l’une de mes amies présente au moment des faits qui habite sur boulevard Robin, à deux rues de l’établissement. Personne n'avais l'intention de conduire et nous nous étions tous rendu au bar a pied.
L’incident a fait en sorte que j’ai perdu mes lunettes de vision; elles sont tombées de mon visage et je ne les ai pas retrouvées le lendemain. J’avais également un harmonica dans les poches de mon manteau, qui est tombé de mes poches et s’est brisé. Les pantalons que je portais sont complètement déchirés et pleins de sang. J’ai des douleurs aux côtes, aux jambes, aux bras et au visage. J’ai des photos de mes ecchymoses pour attester de mes blessures et un rapport médicale. Les policier ont laisser certains de mes effets personnel par terre dans la rue don des photos de moi et ma copine.
J’ai un vidéo de l’événement, filmé par un témoin de la scène. Le vidéo débute au moment où les policiers m’ont maitrisé par terre, sur le terre-plein dans la rue. Il n’est donc pas possible de visionner le début de l’incident. Il est toutefois possible de voir très clairement le policier me donner des coups de matraque alors que je suis maitrisé et par terre. Vous verrez que les témoins de la scène sont outragés et très inquiêt pour ma situation sans être agressif. Je vous invite également à écouter ce que disent les témoins dans le vidéo de la scène : ces commentaires démontrent que la scène était inappropriée, injustifiée. Ces scènes démontrent un usage de la force non nécessaire et une utilisation abusive d'authorité. Dans le vidéo, il est possible de voir le policier asperger le poivre de cayenne dans mon visage, à 0 :11 jusqu’à 0 :14 secondes environ. Avant cela je suis maitriser et immobile. On le voi sortir la bombonne de son ceinturon, m'aspergé puit se relevé et me dire quelquechose de facons aggressive. Environ a 0 :40 secondes, il est possible de voir le policier me matraquer alors que je suis déjà à terre. Les témoins disent aux policiers de se calmer, demandent pourquoi je me fais frapper aussi violemment, leur disent qu’il n’est pas correct de recourir à la violence. Les policiers n’ont jamais répondu aux questionnements des témoins non plus. Plusieur d'entre eux semblait nerveux et avaient des comportement aggressif (pousser des badeaux, menacé avec un taser).
Je peux vous référer à plusieurs témoins de la scène afin de témoigner de la tournure des événements.

Ville où l'événement s'est produit: 

Corp policier (SPVM, SQ, GRC, agent de la STM, etc): 

Matricule du policier (séparer les numéros par des VIRGULES s'il y en a plusieurs): 

Nom du policiers (séparer par des VIRGULES s'il y en a plusieurs): 

Fichier(s) en lien avec l'événement: 

HM district 23

28 Mai 2020

Abusé violenté dents cassée, tripotés sous les vêtements, et menaces et plein de tendencieuses idées de polices avec un grelot comme brain. comme souvent. C'est rare un policier intelligent à mtl au SPVM ils ont même pas encore 20 ans et n'Ont pas le droit de fumer du Weed à Justin.

bye. ils sont incompétents dans tout à date mais ils débutent leur vie, leur carrière, je te donne le bénéfice du doute mais tu n'es pas bon.

Pas félicitation pas policier pas crédible le spvm. je vais pas les appeler si je suis en danger JAMAIS.

Corp policier (SPVM, SQ, GRC, agent de la STM, etc): 

police abuse and wrongful arrest.

29 Février 2020

I was accompanied home by two ppl i met at a bar not 300 metres away from home.
I had a few drinks they were nice enough to drive me home with my car and followed by a friend of his to drive him back. When i got home, my parking was taken by cars that were unlawfully parked there by clients of a business next to my home. I've had several disputes with the manager but most than not the cars het removed. I walked into the business asked the manager to have the cars removed and he refused. Telling me to leave or he'd call the cops. I was all for it seeing that i was the victim. 4 cars arrive and all hell breaks loose. i was threatened by an officer to move my car complaining that she would wreck my car. i told her no!! i was over the limit amd would have been charged with a DUI and second she ended up fitting her car through. When the officers came out i expected to say my side of the story instead the officer placed me under arrest and the cause was uttering death threats.
i was amazed at how poor their communication skills are and their training. I had approximately 1200-1300 hundred dollars in my pocket. They emptied my pockets asked me how much money i had and i told him i wasn't sure. He did not count it there...when they put me in the cells i was given no blanket and ended up having a panic attack in the cells. Finally before being released they brought me a blanket. When giving back my belongings there were only 816$ left. I told them momet was missing amd was screamed at,obviously can't prove any of this but it's really sad that police act like this. I have no criminal record they hopefully realized i was the owner of the building amd quite frankly the victim. No logic or people skills, a somple conversation and the matter woulf have been cleared. i was falsely accused death threats and they arrested me. If anybody accuses you of anything they impulsively act on it without doubt.
Its sad...it's twice now that i have been arrested falsely and both times was mistreated and felt their police brutality and " god like" personalities.

Corp policier (SPVM, SQ, GRC, agent de la STM, etc): 

mvn

28 Février 2020

J'ai témoigné ce soir, vers 21h40, un incident de brutalité sur la rue St-Denis, près du métro Sherbrooke. À mon arrivée, au moins quatre voitures policières étaient présentes et les policiers avançaient vers deux jeunes. One of the young men kept repeating, "You got the wrong people". They both had their hands up and appeared to be cooperating with the orders being given to them-- back up, etc. There was a certain distance between the cops and the young men, but all at once, unprovoked, one of the cops rushed towards the young man in the gray jacket and knocked him violently to the ground. With the force of the impact, I would not be surprised if he sustained a fracture. The sound of him hitting the ground was pronounced. I took out my camera, but many cops rushed at the two young men and kept them on the ground, blocking my view. Also, three cops appeared from behind me and kept on moving in front of me to prevent me from filming. I did not get any useful footage. I then observed that the man in the gray jacket was put into a cruiser. J'ai entendu les policiers dire qu'un des jeunes avaient un couteau, mais je ne l'ai pas vu. Assez troublant, témoigner un tel incident.

Corp policier (SPVM, SQ, GRC, agent de la STM, etc): 

Une histoire de torture policière cachée au Canada (partie 2 suite)

28 Février 2020

4) ANIMOSITÉS & LAVAGE DE CERVEAU ABUSIF (pssst...c'est un criminel dangereux surveillé par la police, éloignez-vous de lui, il vous causera de sérieux troubles!)
a)Ils emploient cette phrase mensongère contre vous, tout le temps à : des propriétaires de logements pour qu'ils ne vous louent rien---- des entrepreneurs ou d'éventuels patrons afin que vous ne soyez pas embauché dans le travail qui vous plaît----vos nouveaux voisins ou amis pour qu'ils s'éloignent de vous et vous méprisent----une nouvelle personne dans votre vie, avec qui vous voulez entamer une relation sérieuse, afin qu'elle fuit loin de vous----des gérants de magasins ou agents de sécurité des places publiques, pour vous chasser & vous intimider---même des docteurs de famille pour qu'ils vous rejettent comme patients...non seulement ça, ils peuvent aussi falsifier vos dossiers médicaux pour qu'on ne découvre pas les ravages de leurs poisons dans votre organisme, ni le taux de leurs poisons dans votre sang (eh oui, ils font beaucoup ça à Ottawa, concernant ce fait médical!)
b) Si vous habitez avec des colocataires, et que vous n'avez pas de caméras cachées lorsque la maison est seule. Ils iront voler certaines choses dans la chambre de vos colocs, ou y commettre de graves méfaits, afin que vos colocs soupçonnent que c'est vous qui l'avez fait! (Ils font beaucoup ça en Alberta et l'Ontario) Eh oui...Une police qui prétend "to serve and protect"... excitant des citoyens paisibles les uns contre les autres, abusivement, c'est choquant n'est-ce pas? Il n'y a pas de limites à leurs méchancetés, pour maltraiter, détruire, ou tuer! Ce sont des gens sadiques, sans loi, sans cerveau, et sans conscience! Ils connaissent seulement le mal et le matérialisme...Mais vous, plus vous êtes au courant de leurs éventuelles attaques, plus vous les éviterez!
c) "Service à la clientèle appelez 101".... C'est ce message sonore public que vous entendrez dans une certaine pharmacie, lorsque la police sait que vous êtes là! Ils appellent la pharmacie contre vous, et en retour la pharmacie demande au service de sécurité de les contacter! S’il n'y a aucune cible de la police dans le magasin et que vous entendez ce message, cela veut dire que c'est pour une autre chose, pour une autre raison.
d)S'ils voient que vous êtes sur le point de réussir certaines choses dans votre vie, ils pourront tout faire pour vous boucher la voie! Soyez prudents! On sait par exemple en Alberta, la police criminelle peut utiliser un imposteur pour parler faussement à votre place, en votre nom...sinon pour agir méchamment à votre place (avec ou sans un déguisement)
e) Le langage des animaux protecteurs: Si vous voyez soudainement, que votre chien a fait caca dans la couche où il dort...où il l'a fait à une place inhabituelle dans la maison, qui vous choque…. Sachez que le pauvre animal resté seul à la maison, a été en contact avec des étrangers, pendant votre absence; il a subi un grand stress, il est devenu perturbé, ne sachant plus quoi faire. Il a confronté un méchant venu pour vous faire du mal et il a essayé de protéger votre maison ou essayé d'empêcher ce diable de commettre des méfaits dans votre maison…sans succès! regardez aussi s'il a subi des attaques sur son corps! -----Si sur la rue où vous habitez, vous voyez votre chien devenir soudainement nerveux enragé, fâché.... à cause d'un inconnu qui passe paisiblement...Il y a de fortes chances que cet inconnu a été en contact avec votre chien pour le mal, pendant votre absence à la maison! Ne soyez pas dupe!

Finalement, dans cette phrase mensongère commune de lavage de cerveau contre vous…la police hors-la-loi oublie souvent de dire : ... éloignez-vous de lui, car c'est un criminel Comme Nous !!!! (Et c'est bien vrai, n'est-ce pas?)
- - - - -A Suivre

Ville où l'événement s'est produit: 

Corp policier (SPVM, SQ, GRC, agent de la STM, etc): 

Une histoire choquante de torture policière cachée

21 Février 2020

Cette histoire et toutes ces informations, sont dédiés à toutes les victimes non criminelles de la police hors-la-loi
Vous croyez que l'inconduite policière se résume seulement, à la brutalité physique et aux fusillades des personnes innocentes?... détrompez-vous! Ils font beaucoup plus que cela! Vous allez sûrement vous reconnaître à travers ces lignes, par des faits que vous n'auriez (ou n'aviez) jamais pensé que la police était derrière ça!
Je suis une dame. J'ai décidé de publier mon histoire, pour la 1ere fois, après plus de 20 ans de persécutions policières, seulement pour 3 raisons:
1) au cours des années, j'ai demandé à mes bourreaux, maintes & maintes fois de me laisser tranquille... jusqu'au 7 oct. 2019 je les ai lancés un ultimatum raisonnable…Non, ils ne m'ont pas écouté, ils n'ont jamais écouté!
2) en réponse, pour m'intimider, ils ont même osé contaminer des médicaments que j'ai commandés par la poste, d'une pharmacie locale (non par livraison, mais par la poste). A ma grande surprise, je suis tombée gravement malade pour la 1ere fois de ma vie, après avoir avalé des suppléments que je connais depuis plusieurs années... jusqu'à presque cracher du sang !!! Eh Oui, La Police Criminelle Fait Ça Aussi Au Canada !!!... mais vous n'avez encore rien vu!
3) Plus tard, j'ai décidé de faire une petite levée de fonds avec l'aide d'une compagnie, afin de soigner ma santé détériorée, de me procurer un logement adapté, & de m'acheter quelques accessoires pour mobilité réduite... à cause de tous les ravages que la police criminelle a commis dans ma vie... Hélas, là encore Ils ont attaqué mon projet! Ils ont même envoyé à quelques éventuels donateurs des emails de haine à mon sujet!
- - - - Là c'en est trop! La police est allée beaucoup trop loin! Il faut faire quelque chose! A mon tour, j'ai décidé de me dresser contre mes bourreaux, en faisant mon possible pour rendre tout public, pour sensibiliser, et les poursuivre en justice!
Voici mon histoire. Tout a commencé à Montréal en 1998, lorsque quelqu'un quelque part a été assassiné par des criminels notoires. Cette personne me harcelait beaucoup par un espionnage visible, parce-que j'en savais trop accidentellement à son sujet! J'étais une vieille fille isolée, mais bien rangée par l'éducation, ne s'intéressant qu'à ses animaux, le jardinage et Dieu... mais pas aux affaires des autres! Je n'ai jamais eu de casier judiciaire dans ma vie, ni de vie ou passé criminel! Malheureusement, on n'arrêtait pas de me faire peur, j'étais une dame vivant seule! J'ai même appelé le 911 à plusieurs reprises! Finalement un soir, la police en a eu assez et m'a jeté dans un asile, en disant "Là tu te sentiras plus en sécurité!". Tout le monde se moquait de moi! Je suis même passée par la Déontologie policière! Puis un jour...Bouf! J'ai appris par les médias que cet homme a été tué & qu'il menait une double vie corrompue! Peu de temps après, la police honteuse est revenue encore dans ma vie, car ils voulaient savoir si j'étais liée à ce fait! Puisque je n'avais rien à cacher, je les ai laissé fièrement fouiller dans ma vie, à leur guise tout ce qu'ils voulaient chercher! Le temps a passé, ils n'ont rien trouvé! Mais quand ils ont vu o combien j'étais cérébrale, spirituelle, smart genre intellectuelle.... Ils ont pensé que je cachais encore quelque chose! Là encore, je les ai laissé faire leur exploration virtuelle (symbolique) de mon cerveau! Depuis ce temps-là, ils ne m'ont jamais lâché! 15 années ont passé et ils fouillent encore aujourd'hui dans ma vie, comme des marmottes…non sans avoir détruit ma vie, et nuire à tout ce que je fais!
Voici 6 des plus communes attaques (parmi tant d'autres) que la police criminelle fait subir à leurs victimes (attention : ils sont malicieux, ils ne font pas tout cela à tous leurs victimes…ça dépend de votre résistance, la place où vous habitez, ou votre situation etc... quant à moi, J'ai vécu tout ce qui est dit dans ce récit)
1)HARCÈLEMENT POLICIER FOU
Partout où je vis, je vais, j'habite, je déménage…la police visible est à mes trousses, comme un chien fidèle qui me suit partout. Cela ressemblait aussi à une obsession amoureuse symbolique !!!!! Lorsque pour me défendre, j'ai commencé à les appeler. "les policiers amoureux"... plusieurs d'entre eux ont eu honte & ont arrêté de me harceler dans la rue visiblement, mais ils ont envoyé à leur place pour m'intimider & me suivre : les camions de télécommunications---les Ambulances en service dans la rue---des avions & hélicoptères masqués dans l'air ou les oiseaux d'acier maléfiques d'Alfred Hitchcock (eh oui, ça ressemble à des avions ordinaires, mais en fait vous comprendrez que ce sont des engins de police lorsqu'ils apparaîtront partout où vous êtes)-----les agents de sécurité des places publiques----des civils qui servent et protègent la police ( majoritairement d'anciens bandits convertis en délateurs)
2) LES INTRUSIONS À DOMICILE
Chaque fois que votre maison est seule, ils envoient chez vous quelqu'un qui passe inaperçu! Qu'importe si vous avez un système d'alarme ou une serrure haute sécurité, ils ont des outils pour contrôler tout. Leurs principaux méfaits criminels chez vous sont : Organiser caméras, micros, bébelles électroniques dans votre maison, mais plus particulièrement dans votre chambre à coucher et votre salle de bains (eh oui, parce-que ce sont des lieux secrets selon eux)----Gâter vos meubles, appareils, et lumières---Dommager votre système détecteur de fumée----Attaquer vos animaux----Voler les affaires de vos colocataires afin qu'ils soupçonnent que c'est vous qui l'avez fait (ils font beaucoup ça en Alberta)----Le plus graphique de tout cela : Mettre Du Poison Dans Vos Aliments (du poison principalement à longue échéance pour ne pas trop attirer l'attention!...vous verrez plus de détails, dans le #5 sous le titre " Les maladies Communes Des Victimes De La Police"
b) Si vous pensez à engager un professionnel pour nettoyer votre maison électroniquement, faites sûre que ce n'est pas un espion de la police! Les seules places où ces criminels ne peuvent entrer sont celles où il y a toujours quelqu'un d'alerte resté à la maison avec ou sans un chien de garde ou un système de surveillance caméra à distance par vous!
3) LES CRIMES DE CERTAINES SERVICES PUBLIQUES QUE VOUS NE SAVIEZ PAS
a) La police criminelle partout, utilise certaines personnes pour kidnapper à votre insu, certaines de vos lettres que vous postez ou que vous avez reçu! Souvent ils saisissent des courriers de: nouveaux clients ou amis---dates rendez-vous importants----un prix gagné ou un crédit approuvé---lettre judiciaire ou professionnelle très importante--- et...
b) Quant à la boîte mobile de santé, ils peuvent recevoir des commandes secrètes de la police criminelle, pour se débarrasser de vous : soit vous laisser mourir ou vous donner l'injection mortelle qui provoque un arrêt cardiaque, hémorragie cérébrale, ou autre qui n'attire pas l'attention! A part les étranges suicides masqués qui se font dans les prisons.... n'est-il pas courant d'entendre ceci des ambulances : "Il a succombé à ses blessures en chemin"...."il est mort d'un arrêt cardiaque" etc... Définitivement, si vous êtes une cible potentielle ou une vraie victime de la police (avec preuves)... soyez prudent comme les politiciens, certains chefs d'État...qui quand vient le temps des urgences, font comme dans les temps anciens : se font transporter en privé---passer la convalescence plutôt à la maison---ils ne passent pas la nuit à l'hôpital, sauf de jour pour les soins importants--& soyez toujours entouré de quelqu'un!
Saviez-vous aussi que certaines ambulances criminellement adorent faire sonner leurs sirènes glaciales dans la rue, juste pour intimider???? Ils n'ont pas le droit de faire ça! Si vous en soupçonnez un, la prochaine fois suivez le en vidéo pour voir s'il va vraiment aboutir à une place d'urgence!

Ville où l'événement s'est produit: 

Corp policier (SPVM, SQ, GRC, agent de la STM, etc): 

Agression physique

26 Octobre 2019

La Prairie environ 19:30 - 8:00 pm Soirée Halloween

J'étais en attente pour visiter une maison, j'étais en compagnie de mes petits enfants, mon fils, ami de mon fils.

J'ai reçu 4 coups dans le dos dont un dans le bas du dos, les 3 autres entre les omoplates. L'ami de mon fils est intervenu.J'ai été étourdies, vision troubles.

Le 27 oct. le lendemain, j'étais somnolente, maux de cœurs, maux de tête et aussi le lundi et mardi: j'ai mal à la tête, maux de cœurs.
Le lundi, je prenais ma pause devant la bâtisse où je travaille et les policiers (qui te parlent de loin, jamais devant toi, porte des perruques), ne te plains pas, ça pas fait si mal que ça, tu nous prend pour des champignons. Ton gigolo était là pour t'aider.

Ils continuent de me harceler, je dois sortit de chez moi, du travail, je dois les rencontrer, les suivre etc...

J'en ai assez, je suis déjà allée les rencontrer mais ils ne parlent pas.

Merci et bonne journée.

Ville où l'événement s'est produit: 

Corp policier (SPVM, SQ, GRC, agent de la STM, etc): 

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