Arrestation Illégale

07 December 2019

L’événement est arrivé dans la nuit du vendredi 6 décembre au samedi 7 décembre 2019 devant l’établissement Bar le Dallas à Laval (317 Boulevard Cartier O, Laval, QC H7N 2J3). Le constat d’infraction en lien avec la situation est le 0 415 288 762.
Voici la description des faits.
L’événement a débuté alors que les deux policiers sortaient du bar, après avoir interpellé une dame à l’intérieur. Je revenais du centre d'escalade blok shop et était au bar depuis environs 2 heures. Je me suis aller rejoindre des amis au bar Dallas et j'y ai bu 2 bière. J’étais à l’extérieur devant l’établissement, sur la térasse en asphalte au pied des marche, en fumant une cigarette. Monsieur Daniel Karl Angelozzi, était également présent sur la scène en train de fumer une cigarette près de l'entré. En discutant avec moi et d’autres gens à l’extérieur. Catherine Whitehead était également présente appuyée sur la rampe en métale. Daniel Karl blaguait de facon innaproprié, je lui ai suggéré d'arrêter. Les policiers l'on interpellé . Lorsqu'un des deux agents présent l'a agrippé par le bras et tiré vers le véhicule stationné sur le coté du bar. j'ai alors demandé ce qui se passait. Le deuxième policier, qui ne tenait pas Daniel Karl, s'est ensuite dirigé vers moi en me disant : « Toi aussi viens-t'en!». J'ai alors demandé pour quelle raison. Sans me répondre, il me demande ensuite de m'identifier tout en s'approchant plus près. Sans refuser de m'identifier, je lui demande encore une fois pour quelle raison. Je ne comprend pas le motif du policier, je n'était en aucun cas aggressif ou agité et me trouvais sur la propriété privée du bar. Sans aucune réponse de sa part et sans me laisser le temps de lui donner mon nom il me saisit par le bras et dit: « Tu refuse de t'identifier!». Je lui répond que je n'ai jamais refuser de m'identifier c'est alors qu' Il aggripe mon deuxième bras, me secou et commence à me diriger vers la rue et le terre-plein en disant: « Tu résiste, arrête de résister!.». Pendant tout ce temps, je leurs demande la raison de cette intervention physique et leurs répètes que je ne résiste pas en tentant de garder mes deux mains en l'air en signe de non agressivité. Je n'ai jamais recus d'instruction claire de la part du policier et était sous le choc d'être aggripé si brusquement sans raison apparente.

Il ne m’avait pas donné de motif pour cette requête d'identification, ne m’avait pas avisé préalablement que j’étais en état d’arrestation ou pour quelle raison, j’étais donc tendu et restais droit debout les mains en l'air en répétant que je ne résistait pas. Il m'aggripait les deux bras tout en me secouant. Il me poussait vers la rue; j’ai tenté de rester sur place car il me semblait dangereux d'avoir une altercation au beau milieux de la rue, sans toutefois être agressif ou violent, leur demandant à répétition qu'est-ce qui motivait leurs aggressivités envers ma personne. Les policiers n’ont pas répondu à mes questions et tentait de me basculer sans aucun dialogue de leurs part exepté: « Arrête de résister!». Je n’ai jamais refusé de m’identifier, je ne faisais que demander les raisons qui justifiaient cette intervention physique tout en essayant de garder mon équilibre.
Lorsque nous sommes arrivés au terre-plein au milieu de la rue, les policiers m’ont brusquement jeté par terre et m’ont immobilisé en clef de bras. A ce moment je ne bougeais plus et continuait de leurs demander calmement pourquoi ils m'étranglaient puisque je n'avait posé aucun geste aggressif envers leurs personnes. Pendant qu’un des agents m’étranglait, j’ai eu une vive sensation de brulure aux yeux, j’ai pensé que je recevais du poivre de cayenne dans le visage. J’ai donc essayé de couvrir mes yeux et protéger mon visage avec mes mains. J'ai alors demandé à l’agent pourquoi il m’aspergeait, et ce dernier m’a répondu « compte toi chanceux, la cannette est vide. ». J’ai toutefois eu tous les symptômes associés à une exposition au poivre de cayenne (brulures au niveau du visage et des main, irritation des vois respiratoires et des yeux). À ce moment, alors que j’étais par terre et maitrisé par l’un des agents, j'ai senti des coups au niveaux des côtes. J'ai alors tenté de me protégé la tête avec mon bras. J'ai recus un autre coup au niveau du bras puis un quatrième au niveau de la cuisse. Je me sentais étouffé par l'encolure et avais de la difficulté à respirer du a l'irritation de mes voies respiratoire. Ma vision était brouillé du a des larmoiment et mon nez coulait abondament. Lorsque les policier me relevaient, j'ai donc cracher au sol pour libéré le mucus accumulé et tenté de reprendre mon souffle. Je sentais des brulures aux yeux, au nez, la bouche et sur mon visage qui on persisté. Lorsque les policiers m’ont mis dans leur véhicule, ils m’ont mis un sac sur la tête en justifiant cet acte par le fait qu’ils n’avaient pas de grillage dans le véhicule. Pourtant il y avait environs 5 véhicules de police présent sur place. J'avais de la difficulté à respirer, l'irritation du poivre de cayenne m'étouffait car il ne pouvait se dissipé du au sac. Lorsque je signala au policier que j'avais des difficultés a respirer il me dit que je peux respirer autravers du sac. Je leurs répond alors que c'était a cause du poivre de cayenne qui restait pris dans le sac. Cette fois-ci fois on me répondit que « la cannette était défectueuse. ».
Lorsque nous avons quitté , au lieu de m’apporter au poste de police, ils ont stationné le véhicule et discutaient pour décider du motif de l’arrestation, de quelle contravention ils allaient me donner et de ce qu’ils allaient faire avec moi, en disant que mon domicile était trop loin. Je leur demandais leurs matricules, et ils me répondaient que j’allais les voir sur le constat d’infraction. Lorsque nous avons repris la route, durant le trajet, le policier tentait de me donner des coups de matraque car je leur demandais pourquoi ils m’avaient arrêté; le conducteur a notamment fait une blague à mon insu en disant « Labarre, arrête de parler tu vas manger des coups de barre ». L’autre policier, m’a indiqué que le motif de mon arrestation état ivresse sur la voie publique. Je leur expliquais que je ne comprenais pas, que j’étais à un bar. Je continuais de leurs demander si ils trouvait nécessaire de m'avoir maltraité de la sorte ce a quoi un agent m'a répondu que j'avais tenté de frapper son bras et que j'était chanceux de ne pas être accuser de voie de fait envers un policier. J'étais estomaqué par cette affirmation et rétorqua qu'a aucun moment j'avais tenté de le frapper et n'était en aucun cas agressif envers sa personne. Continuant a questionné le motif de leurs intervention, l’agent me répond que j’étais en dehors du bar. J’ai répondu que je fumais sur la terrace du bar. L’agent m’a répondu « tu avais juste à ne pas fumer ».

Les agents m’ont finalement reconduit au domicile de mes parents. Lorsqu'ils ont enfin retirer le sac de sur ma tête un des agent était dégouté par mon apparence (yeux enflé et larmoyant et muccus coulant de mon nez). Je ne voyait presque rien mais je continuais de les questionner sur la motivation de leurs actions. J'était articulé et en possession de mes moyens mais ne recu aucune réponse exepté: « T'as rien à gagner, veux tu qu'on aille cogné chez vous? ». Sachant que je n'avais rien a cacher je les ai invité a le faire. Les policiers on quitter me laissant dans les marchent menant au domicile familliale, je suis donc rentré. J'ai alors tenté de laver mon visage avec de l'eau froide car les sensations de brulures persistaient et j'avais des trouble de visions (paupières enflées). Le contact de l'eau sur ma peau a emplifier la sensation de brulure. J'ai ensuite appliquer du lait sur mon visage ce qui a appaiser les brulures. Lorsque j'ai tenté de me doucher par la suite les brûlures étaient intense au niveau des mains et du visage.
Durant tout l’incident, j’ai répété à de nombreuses reprises aux policiers que je ne résistais pas à l’arrestation. De nombreux témoins étaient dehors durant toute la scène et ne cessaient de demander aux policiers pourquoi ils m’arrêtaient, et surtout, pourquoi ils m’attaquaient avec autant de violence. Personne n'a vu ni su pourquoi le policier m'a interpelé aussi brusquement et sans motif apparent. J’étais devant un bar, mais je n’étais en aucun cas en état d’ivresse avancé, ni dérangeant pour quiconque. J'était cohérent dans mes discusions et en pleine possession de mes moyens. De plus, l’ensemble des gens avec qui je discutait avaient consommé de l’alcool. Il semblerait toutefois que les policiers m’avaient ciblé pour leur intervention. La soirée tirait à sa fin, j’étais avec mes amis dehors en train de fumer, nous nous préparions à partir chez l’une de mes amies présente au moment des faits qui habite sur boulevard Robin, à deux rues de l’établissement. Personne n'avais l'intention de conduire et nous nous étions tous rendu au bar a pied.
L’incident a fait en sorte que j’ai perdu mes lunettes de vision; elles sont tombées de mon visage et je ne les ai pas retrouvées le lendemain. J’avais également un harmonica dans les poches de mon manteau, qui est tombé de mes poches et s’est brisé. Les pantalons que je portais sont complètement déchirés et pleins de sang. J’ai des douleurs aux côtes, aux jambes, aux bras et au visage. J’ai des photos de mes ecchymoses pour attester de mes blessures et un rapport médicale. Les policier ont laisser certains de mes effets personnel par terre dans la rue don des photos de moi et ma copine.
J’ai un vidéo de l’événement, filmé par un témoin de la scène. Le vidéo débute au moment où les policiers m’ont maitrisé par terre, sur le terre-plein dans la rue. Il n’est donc pas possible de visionner le début de l’incident. Il est toutefois possible de voir très clairement le policier me donner des coups de matraque alors que je suis maitrisé et par terre. Vous verrez que les témoins de la scène sont outragés et très inquiêt pour ma situation sans être agressif. Je vous invite également à écouter ce que disent les témoins dans le vidéo de la scène : ces commentaires démontrent que la scène était inappropriée, injustifiée. Ces scènes démontrent un usage de la force non nécessaire et une utilisation abusive d'authorité. Dans le vidéo, il est possible de voir le policier asperger le poivre de cayenne dans mon visage, à 0 :11 jusqu’à 0 :14 secondes environ. Avant cela je suis maitriser et immobile. On le voi sortir la bombonne de son ceinturon, m'aspergé puit se relevé et me dire quelquechose de facons aggressive. Environ a 0 :40 secondes, il est possible de voir le policier me matraquer alors que je suis déjà à terre. Les témoins disent aux policiers de se calmer, demandent pourquoi je me fais frapper aussi violemment, leur disent qu’il n’est pas correct de recourir à la violence. Les policiers n’ont jamais répondu aux questionnements des témoins non plus. Plusieur d'entre eux semblait nerveux et avaient des comportement aggressif (pousser des badeaux, menacé avec un taser).
Je peux vous référer à plusieurs témoins de la scène afin de témoigner de la tournure des événements.

Ville où l'événement s'est produit: 

Corp policier (SPVM, SQ, GRC, agent de la STM, etc): 

Matricule du policier (séparer les numéros par des VIRGULES s'il y en a plusieurs): 

Nom du policiers (séparer par des VIRGULES s'il y en a plusieurs): 

Fichier(s) en lien avec l'événement: