Témoignages d'abus policiers

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Les policiers de Trois-Rivières ne vous sauveront pas

22 Août 2022

Après avoir appelé l'urgence pour dénoncer un voleur face à chez moi, les policiers sont venus m'interroger.

Mais à ma grande surprise, c'est à moi qu'ils ont mis les menottes. Devant le brigand en question qui me regardait me faire arrêter à sa place.

Le policier Labrecque et le policier Pelletier m'ont dit que la raison de mon arrestation est que j'ai appelé inutilement la Direction de la police de la Ville.

Cela conviendrait à l'encontre du Règlement municipal sur la paix, l'ordre et la sécurité publique, au Chapitre 2 au premier point.

Il n'existe pas de loi fédérale ni de loi provinciale qui nous empêche d'appeler la police, pour des raisons évidentes.

C'est extrêmement hostile se faire menacer d'aller en prison si on les contacte pour des raisons qu'ils jugent personnellement compromettantes.

Mon arrestation était complètement infondée et purement arbitraire. L'intention est clairement de ne pas intervenir sur les délits que nous vivons dans notre quartier démuni.

Pour vous mettre en contexte, mon secteur est appauvri. La petite Pologne à Trois-Rivières est souvent victime de vols importants et les policiers ne veulent pratiquement jamais intervenir sur la problématique.

Il s'agissait réellement d'une urgence puisque je dénonçais un malfrat.

Je les ai entendus rire de moi, se disant entre eux que ça ne valait pas la peine d'arrêter les voleurs dans la région.

Ils m'ont culpabilisé, me disant qu'à cause de moi, des gens sont morts à vouloir tenter de les contacter. L'ironie, est qu'ils ont passé un temps considérable sur moi. Alors que je n’ai absolument rien fait d'immoral.

Je vis un traumatisme pour avoir été inutilement incarcérée.

De plus, ce n'est pas la première fois qu'ils m'intimident. J'ai 5 plaintes contre le poste de police de Trois-Rivières reçu au commissariat à la déontologie policière.

Surtout pour inaction face aux réels criminels. Ils ont tenté de me dissuader de dénoncer les criminels de mon entourage à maintes reprises.

Une fois, le policier Marc-André St-Amant m'a rendu visite pour me dire qu'il allait « déchirer mes plaintes » si je n'acceptais pas des torts infondés qu'il me reprochait. Il m’a principalement ordonné d’arrêter de dénoncer les voleurs.

Ce policier en question a récemment été accusé de brutalité policière pour avoir tabassé un voleur de médicament. Alexis Vadeboncoeur était doté d'un jouet en forme de fusil. Il n'avait pas d'arme à feu.

Ils sont particulièrement hostiles envers les gens vulnérables.

Une fois, ils m'ont clairement expliqué que j'avais besoin d'aide psychologique pour avoir dénoncé un trafiquant de stupéfiants chimiques qui agissaient agressivement envers moi.

Une fois, ils m'ont clairement expliqué qu'un homme qui me poursuit sur 5 coins de rue a le droit de me harceler puisqu'il n’est pas méchant.

Une fois, ils m'ont clairement expliqué qu'une femme victime de menace de mort n'aurait pas dû insulter son ravisseur.

Ce sont des machistes.

Sans compter que je l'ai est prévenu, à maintes reprises, que j'ai changé civilement de nom et ma mention du sexe. Le lieutenant qui était là lors de ma fausse arrestation n’a pas pris ça au sérieux.

Le nom et la mention du sexe inscrits sur mes tickets ne sont pas les bons.

En somme, saviez-vous que vous n’avez pas le droit d’insulter un policier à Trois-Rivières ? Mais eux peuvent vous insulter à volonté.

Lors de l’incendie de mes voisins, une policière de Trois-Rivières m’a traité de « twits » pour avoir été déboussolée sur le trottoir.

Une autre policière m’a donné une contravention pour injure, à la place d’aller sauver une vie.

Seigneur, imaginez payer une amende pour quelque chose qui n’affecte que leur ego de fasciste.

Ville où l'événement s'est produit: 

Corp policier (SPVM, SQ, GRC, agent de la STM, etc): 

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Broken Fingers (doits fracturés)

15 Janvier 2022

Two-months ago, my husband, in a state of distress, was confronted by the SQ agents just outside of Montreal island. After restraining my husband, one SQ agent repeatedly stroke him on his left hand with his baton, breaking two of his fingers (he was kept in prison with broken fingers with three days).

The fingers needed invasive surgery which have cost us $10,000 (he is not a permanent resident yet).

Here is when minority status, precarious immigration status, and state of distress cross, giving the police the opportunity to show the depth of their brutality.

Ville où l'événement s'est produit: 

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« Aurait une tentative de meurtre par un groupe GTI/SQ en 2013»

13 Septembre 2013

Les histoires de la police ne sont pas toutes à la télé et au cinéma. Certaines se déroulent dans la vraie vie, avec les conséquences qu’on peut imaginer dans mon dossier « Aurait une tentative de meurtre par un groupe GTI/SQ en 2013» camouflé dans l’enquête indépendante par police de ville de Québec, no dossier QUE 130913-140
https://www.youtube.com/watch?v=HoH16Ogu8Rc

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Harcèlement sur ainés de Denis FALARDEAU

24 Septembre 2019

Denis FALARDEAU a commis un recel de vol de données par effraction et recel de méfaits publics en harcelant par téléphone une ainée en état de faiblesse, à partir du 23 septembre 2019.

Denis FALARDEAU a commis l’acte criminel de harcèlement caractérisé par le fait de s’en prendre à une personne qu’il a abusivement crû être un proche et exécuté des pressions criminelles contre elle pour nuire à la personne visée comme sa cible.
En suite d’une violation de résidence par Denis FALADEAU refrénée, qui a tournée en une bavure policière; en guise de représailles :
le 24 septembre 2019, de 11 h 03 à 11 h 12, le sergent-détective Denis Falardeau, membre des services de Police de Ville de Québec, engage un appel téléphonique depuis l’adresse du 4280 rue d’Orsainville Québec ( Québec ) , tel : 418 641 6411 poste 7041, sous couvert d’un numéro de téléphone anonyme, auprès de Madame X au 514 xxx xxxx, laquelle au volant de son automobile demande à ce dernier de ne pas l’appeler, ni par la suite ni après.

Dans sa démarche de harcèlement, plusieurs appels et tentatives d’appel suivront jusqu’au 25 septembre 2019 à 10 h 00 environ, dans le but de soutirer, sous des conditions de menaces avec de faux prétextes et un scénario avec fausse représentation, des renseignements sensibles, confidentiels et relativement à un Monsieur Y auprès de Madame X .

Denis FALARDEAU a opéré un véritable harcèlement contre Madame X dans le but d’obtenir des données personnelles relativement à un Monsieur Y.
Denis FALARDEAU a tenu des propos diffamatoires et orduriers relativement à un M. Y avec atteinte à la réputation contre ce dernier, et a divulgué, des assertions fausses diffamatoires à l’encontre du Monsieur Y, pour déstabiliser son interlocutrice et exercer des pressions criminelles durant plus de 40 minutes.
Denis FALARDEAU a utilisé de faux prétextes pour soutirer de l’information relativement à un Monsieur Y, à l’aide soit de motifs médicaux, avec violation de données médicales et du secret médical, soit de motif d’acte dérogatoire obtenu du recel de méfaits publics, selon la tournure de la conversation, avec Madame X
Denis FALARDEAU a plusieurs fois tenté de déstabiliser Madame X en lui reprochant de se nuire en ne répondant pas à la Police parce qu’elle ne répondait pas favorablement aux questions inquisitrices, en lui reprochant de ne pas coopérer alors qu’il lui a été rappelé continuellement entre le 23 et le 25 septembre 2018 lors des six appels téléphoniques qu’elle n’a pas à répondre à ses questions dans le cadre de son harcèlement.

Attention à tous, prolongement de la main criminelle du service de Police de Ville de Québec pour exécuter sa brutalité policière qui utilise l’organisme PECH, 130 boulevard Charest Est, Québec, Qc G1K 0E2, tel : 418 523 2820, pour obtenir des aveux non consentis sous de faux prétextes qui seront utilisés contre vous ( éventuellement en cour ),refuser de répondre aux questions ( qui sont celles de la police ) , faire appel à un avocat, ou demander d’appeler un avocat. Utiliser aussi pour tenter de pénétrer dans les résidences pour fins de surveillance et sursurveillance des individus.

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Presque viol pour moi

Moi ils m'ont mi dans le coffre, fermé la porte ds le nez. Et le pire il y en a un ki me frottait le cul av sa mattaque et ma dit qu'il y avait un gars qui y a eu le droit. Je eu trop peur. Qu'il me le fasse, heureusement il me l'a pas fait. Mais j'arrête pas dit pensé, ça m'a choqué,mais j'ai rien dit l'état est trop fort. Pas de preuve.

Corp policier (SPVM, SQ, GRC, agent de la STM, etc): 

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Brutalité policière gratuite

15 Mars 2021

4 policier se présentent chez moi vers 23h00 cette journée là et on leurs demandant l’autorisation pour rentrer ils refusent se jetant sur moi les 4 sans préavis et pas de crime commis contre personne.

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Mépris et mal-jugée

04 Février 2021

L'événement s'est passé à wester union laval où je suis allée pour faire un transfert.la commis qui travaille à cet établissement m'a insultée et humiliée , m'a traitée comme une moins que rien, j'ai dû appeler la police pour me plaindre de l'humiliation que j'ai subie mais je ne m'attendais pas à être méprisé par la police qui même avant d'écouter ma version complète !?l'agent de police m'a demandé de changer mon attitude ? Pourquoi parce que je lui ai demandé son nom?
J'aimerais comprendre pourquoi le policier à pris 2min avec moi tandis qu'il est resté 10min avec l'autre commis ! Si ce n'est pas de la discrimination. Belle attitude monsieur le policier merci à vous.

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Menottée pendant 20 minutes pour un feu rouge à pied

21 Novembre 2020

Samedi 21 novembre autour de 16h, coin Wellington et 5e Avenue, Verdun.

En sortant d'un commerce, je traverse un feu rouge où il n'y a aucune auto en vue jusqu'au coin de rue suivant.

Vague coup de sirène d’auto-patrouille. Je n’y prête attention qu’à moitié et j’entre dans un commerce de type « dollarama ». Les policiers me suivent jusqu’à l’intérieur.

Ils m’interpellent de l’avant d’une rangée. Je les attends vers le fond de la rangée. Le plus grand des deux s’approche à environ 2 pieds de moi. Technique d’intimidation. Je lui demande de reculer, 2 fois, à cause de la pandémie. Il ne bouge pas. Alors je dis: "Je vais aller au fond de la rangée et remonter la rangée suivante jusqu'à l’avant du magasin, où on aura plus d’espace pour parler." Il me suit, l’autre attend à l’avant du magasin.

Moi : "Il n’y avait aucun véhicule à l’intersection."
Le policier : "La loi c’est la loi."
Moi: "Vous êtes en mode Collecte de fonds pour vos bonis de Noël?"

Arrivés à l'avant, il me demande une pièce d’identité. Je prends toutes mes cartes et lui tends ma CAM. À deux reprises, il vient pour la prendre et je retire ma main en lui demandant de ne pas la toucher. Je lui dis que je ne veux pas qu’il la touche et que j’aimerais qu’il reste à 2 mètres de moi. Je n’ai évidemment aucune intention de fuir ou de résister, mais que je ne veux pas être touchée : on est en pleine 2e vague de pandémie et Montréal vient de passer en alerte maximale.

Pendant ce temps l’autre policier passe derrière moi et m’arrache le reste des cartes (crédit, banque, etc.) que je tiens dans l'autre main. C'est une provocation tout à fait gratuite : jusque là, je coopérais en tentant de respecter les directives des autorités sanitaires.

Je lève le ton et lui dis de me redonner mes cartes, mais le premier m’immobilise par derrière, et demande à l’autre les menottes. Je comprends que j'ai affaire à des juniors qui veulent jouer à Rambo. J'abandonne tout dialogue.

Et vlan, je me retrouve menottée dans le magasin pour avoir traversé un feu rouge à pied à une intersection déserte. Je sors du commerce menottée et escortée comme une voleuse!!! Humiliation totale dans mon propre quartier, devant tout le monde.

Ils me fouillent sommairement (2 hommes, aucune policière), regardent dans ma sacoche. Déposent ma sacoche ouverte à côté de ma pile de cartes sur la valise de l’auto. Je n’offre aucune résistance. Ils m'enferment menottée à l'arrière du véhicule.

Ils mettent une vingtaine de minutes à rédiger leur contravention pendant que je suis enfermée à l’arrière de l’auto-patrouille, les fenêtres fermées, sur une banquette rigide, les deux mains derrière le dos, avec deux policiers qui travaillent dans la rue et qui sont parmi les métiers les plus exposés à la covid. Est-ce que l'arrière a été désinfecté récemment? Comme fumeuse de 61 ans, je commence à faire partie de la population vulnérable. Je suis extrêmement inquiète. Je commence à avoir mal au dos.

J’attends
Enfin, ils me lisent le contenu des contraventions, sans me les remettre parce que leur imprimante ne fonctionne pas : une d'une cinquantaine de dollars pour le feu rouge, et une autre d'environ 480$ pour « entrave au travail d’un policier ». Ils m'ont dit que j'avais 30 jours pour contester et que je recevrais la contravention par la poste. Si l’imprimante ne fonctionnait pas, pourquoi m’avoir gardée pendant 20 minutes menottée dans l’auto???

La semaine suivante, je passe une fois au poste et j'échange plusieurs courriels, avec le maire de l'Arrondissement et deux personnes du poste 16 sans avoir de réponses à mes questions.

J'appelle au poste le jeudi 3 décembre: les policiers sont dans leur semaine de congé et il semble qu'ils ne l'ont pas encore envoyée. Le policier me rappelle le 8 décembre et me dit qu’il n’a pas encore envoyé la contravention pour cause de « délais administratifs ».

15 décembre, 24 jours plus tard, je n'ai toujours pas reçu la contravention que j’ai 30 jours pour contester.

Mes observations et article du code de déontologie policière correspondant:
• Manque de jugement quant à la mission d’un policier dans la société.
• Tentative d'intimidation malgré les consignes sanitaires. Le policier est resté trop près de moi dans le but de m'intimider. (Art. 6.2)
• Usage disproportionné de la force: immobilisation et recours aux menottes (Art. 6.1), alors que je ne tentais pas de fuir et que je montrais une carte d’identitl
• Fouille illégale, aucune policière sur place (Art. 10.4), seulement 2 hommes.
• Accusation portée sciemment sans justification: amende pour "entrave au travail d'un policier » (Art. 6.3)
• Négligence, insouciance à l'égard de ma santé (Art. 10.2) alors que Montréal vient de passer en zone rouge, en alerte maximale.

Ma crainte:
Même si j’arrive à contester les deux contraventions, que faire contre deux policiers s’ils mentent, eux qui travaillent ensemble et qui ont beaucoup de ressources professionnelles à disposition pour monter leur dossier? D’après moi, la situation était tellement absurde qu’ils ne pourront pas expliquer les faits tels qu’ils se sont déroulés en regardant un juge dans les yeux.

Policiers impliqués :
Agent Gaudet : matricule 7888,
agent Massicotte-Haran : matricule 7625

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tiket sans infraction

10 Septembre 2020

policier de st gabriel de brandon on marrete supposement pour vitesse ce qui nait pas vrais jai demander a voir son radard il ma donner plutot un tiket pour mais pneus user 314$ jai toujours des ticket saNS INFRACTION JAI PLUS DE 2000$TICKET A PAYER SANS INFRACTION VILLE DE ST GABRIEL JE VIENT DE DÉMÉNAGER ICI DÉJA 314 DOLLARD DE TICKET SANS INFRACTION APART LA VILLE DE ST JULIENNE ET DE RADOWN EUX AUSSI MON JAMAIS LACHER TICKET SANS INFRACTION ET SURTOUT DE LA BELLE PROVOCATION JE NE SAIS PLUS QUOIS IMAGINER VOUS JAI 65 ANS LA POLICE EST LA PIRE MAFIA GANG DE RUE 12 ANNER HARCELER TICKET NON MÉRITER ATTEINTE A MA LIBERTER ET MA JOIE DE VIVRE JE SUIS ÉQUIPER DE CAMÉRTAS DANS MON TRUCK JE FILM AVANT ET ARRIERE JE VAIS PUBLIER NOTRE MEILLEURE ARME CEST DES PREUVE CAMÉRAS

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