
En mai dernier, le chef du SPVM, Fady Dagher, annonçait son programme de formation pour les recrues policières qui pourront vivre en « immersion » dans les communautés marginalisées à Montréal. L’initiative ne convainc pas les jeunes qui font partie de ces communautés. À leurs yeux, la police est souvent une source d’insécurité peu rassurante et mal adaptée pour répondre aux enjeux auxquels répondent déjà les organismes communautaires.