Le grand patron de la Gendarmerie royale canadienne (GRC) a frappé un grand coup cette semaine en admettant que des agents sont racistes et en s'engageant à sévir. C'est tout à son honneur. Mais il doit aussi s'attaquer aux réflexes, beaucoup plus insidieux, qui peuvent inciter les policiers à traiter les autochtones différemment.