La Sûreté du Québec s'intéresse de près à une technologie extrêmement controversée qu'elle souhaite intégrer à la banque d'empreintes digitales et de photos signalétiques qu'utilisent tous les services policiers municipaux de la province, a appris La Presse. La démarche suscite des inquiétudes chez plusieurs experts.
L'intérêt du corps policier pour cette technologie est tel qu'il vient de solliciter des entreprises du domaine biométrique « disposant d'une solution clés en main » pour qu'elles lui en fassent la présentation d'ici le 12 avril.