« La Ville ne peut pas diminuer le budget du SPVM sans abaisser les effectifs. Elle ne peut pas abaisser les effectifs sans fusionner des postes de quartier. Nos enquêteurs nous disent qu’il y a de plus en plus d’armes dans les rues de Montréal. Il faut être pragmatique, pas idéologique. Définancer le SPVM, ça ne tient pas la route », a déclaré à La Presse le président de la Fraternité des policiers et policières de Montréal, Yves Francœur.