Ils affirment avoir été bousculés et frappés par la police, puis forcés de passer une nuit en détention. Ils répliquent par la voie des tribunaux.
La Cour supérieure vient d’autoriser sept nouvelles actions collectives contre la Ville de Montréal pour des arrestations massives effectuées lors de manifestations en 2011, 2012 et 2014.