« Mobiliser 250 policiers à cheval, en vélo, en voiture, avec des anti-émeutes et même un hélicoptère, c’était complètement démesuré. Ils ont même menacé les campeurs d’arrestation, en les obligeant à quitter. C’est inacceptable », explique la responsable de la mobilisation du comité BAILS, Marine Armengaud.
En matinée, mardi, son groupe a appelé la Ville au dialogue, au côté de plusieurs autres organismes, dont l’Anonyme, Dopamine, le Réseau d’aide aux personnes seules et itinérantes (RAPSIM), la Table des organismes communautaires montréalais de lutte contre le sida (TOMS) ainsi que Chez Stella.